Forum Expat 2019 - Construire ou affiner son projet d'expatriation

 

Le Forum Expat 2019 est un événement sur l’expatriation organisé par Courrier International et le groupe Le Monde. Il s’est déroulé les 12 et 13 juin derniers dans le 3ème arrondissement de Paris. Plus de 5 000 visiteurs ont foulé les allées du salon composées de 80 exposants d’une quinzaine de pays : Canada, USA, Allemagne, Portugal, Nouvelle Zélande, Ile Maurice. Tous réunis autour de quatre grandes thématiques : travailler ou entreprendre à l’étranger, vivre au quotidien, gérer son patrimoine et vivre sa retraite à l’étranger.

Au programme, des conférences autour de la mobilité internationale, des rencontres et du networking dans l’objectif d’affiner ou de construire son projet d’expatriation.

 

Forum Expat 2019 - 2 - Construire ou affiner son projet d'expatriation

 

De Maurice à Paris : MeetYourJob était présent pour répondre à toutes vos questions sur l’expatriation

Mission : Faire rayonner Maurice !

L’agence chargée de la promotion de l’Île Maurice à l’étranger, l’Economic Development Board ou EBD, a convié plusieurs entreprises mauriciennes comme : ColbertConsult, CapSurMauriceImmo, les terrasses de Chantenay et bien sûr MeetYourJob ! MeetYourJob, c’est l’entreprise spécialiste du recrutement basé à l’Île Maurice. Aujourd’hui, elle accompagne aussi les start-ups et entreprises dans leur délocalisation et leur recrutement en leur proposant des profils internationaux, toujours plus talentueux !

Le Forum Expat 2019 était donc un passage obligé pour MeetYourjob. L’entreprise était représentée durant deux jours par son fondateur : Emmanuel Maujean. L’objectif partagé par tous ces acteurs de l’économie mauricienne était simple : faire rayonner l’Île Maurice à l’international en partageant et présentant leur savoir-faire tout comme leur savoir-être.

 

Forum Expat 2019 - Emmanuel Maujean

Un événement sous le signe du partage

Emmanuel Maujean a quant à lui fait de très belles rencontres. Des personnes souhaitant devenir expatriées ont alors pu échanger avec lui sur divers sujets comme la création d’entreprise, l’installation ou la recherche d’emploi à l’Île Maurice !

C’est une rencontre atypique qui à retenue son attention. À travers cet événement, le fondateur de MeetYourJob s’est lié d’amitié avec Armand, 50 ans, autour d’un café. Tous les deux ont passé la journée à se conseiller, à échanger sur leurs projets respectifs. Certains visiteurs ont même fini par penser qu’Armand était Mauricien, alors qu’il n’a jamais mis un pied à l’île Maurice !

De nombreux jeunes à la recherche de nouvelles aventures, sont aussi venus à la rencontre d’Emmanuel pour se renseigner sur les deux services phares de MeetYourJob : Stagissimo et Jobissimo. Ces services permettent de trouver respectivement soit un stage, soit un emploi à l’Île Maurice. Quel bonheur de voir tant d’engouement pour cette belle île où l’économie ne cesse de croître.

 

Les maîtres mots du stand MeetYourJob : Travailler, Recruter, S’installer, Partager !

Conclusion de cet événement sur l’expatriation

 

Ce salon a permis à MeetYourJob d’accroître sa visibilité et d’obtenir de nombreux retours positifs. Les différents projets de la société ont attiré des entreprises, des talents et même des journalistes ! Les visiteurs ont particulièrement apprécié l’alliance de MeetYourJob avec SmartTraveller.mu. Celle-ci permet de compléter le projet professionnel d’une personne souhaitant s’installer à Maurice avec son projet personnel.

SmarTraveller.mu c’est votre accompagnateur de confiance lors de votre expatriation à Maurice. L’objectif de SmarTraveller.mu à travers ses services est simple : rendre votre installation la plus facile possible en faisant de votre séjour une expérience mémorable. Découvrez SmartTraveller.mu en cliquant ici.

 

Avant de revenir à l’Île Maurice, Emmanuel Maujean restera quelque temps à Paris afin d’enchaîner les rendez-vous aux couleurs de MeetYourJob  !

Cocotiers, eau turquoise et fruits de la passion… L’île Maurice a tous les atouts pour plaire !

Qui n’a jamais rêvé de vivre sous les tropiques ? Ne connaître que des hivers à 25° et porter des tongues toute l’année !

Quelle que soit la motivation de votre expatriation à Maurice, MeetYourJob vous soutient !

LE MARCHE DE L’EMPLOI :

Avec un taux de croissance annuel de 4% du PIB, l’île Maurice est le pays d’Afrique le plus favorable aux entreprises et aux investissements. En 2019, la banque mondiale publie un rapport annonçant que Maurice est dans le top 20 «  Easy of doing business ».   L’île Maurice affiche une situation économique très compétitive !

Les secteurs porteurs à Maurice sont :

  • Technologies de l’information et de la communication (TIC) et services externalisés (BPO)
  • Hôtellerie, restauration et tourisme
  • Construction
  • Commerce
  • Finance

Les métiers les mieux rémunérés, exigeant de véritables compétences dans différents domaines sont :

Senior Web Application Developers Rs 50 000
Assistant Quality Assurance Manager Rs 75 000
Head of Compliance Rs 80 000- Rs 100 000
Head of Business Development Rs 70 000 à Rs 100 000
Responsable commercial Rs 70 000 à Rs 100 000
Commercial Business Unit Manager Rs 80 000 à Rs 100 000
Head of Maintenance Rs 100 000 à Rs 150 000
Service Delivery Manager (BPO) Rs 70 000 à Rs 90 000
Head of Finance Rs 80 000 à Rs 100 000

Cependant, gardez en tête que les salaires Mauriciens sont bas. Si vous postulez pour un job avec peu de responsabilités, le salaire de base pour un étranger est de Rs.30 000 ( soit environ 800€).

Des communautés d’expatriés sont présentes sur l’île et organisent très souvent des after work pour pouvoir se créer un réseau et rencontrer des personnes.

C’est un excellent moyen pour s’intégrer et pouvoir échanger avec des personnes qui vous ressemble ! 

Et surtout n’oubliez pas… MeetYourJob se charge de vous trouver le job de vos rêves made in Mauritius !

  • Pour les entreprises et les start-uppers : 

L’île Maurice présente de nombreux avantages fiscaux concernant les entreprises :

  • Taux d’imposition de 15 % sur le revenu.
  • Pas d’impôts sur les droits de succession et les bénéfices.
  • Exemption des droits de douane sur toute marchandise importée à travers le port franc.
  • Impôts sur les bénéfices des sociétés (IS) a 15% seulement.
  • Accord de non-double imposition auprès d’une quarantaine de pays dans le monde.

Maurice est connu depuis les années 2000 pour etre l’eldorado des BPO (notamment les call centers). Mais depuis quelques années, nous assistons au boom des start up internationales, venues s’installer ou se délocaliser sur notre petite île. En effet, l’île est propice à l’entreprenariat. De nombreuses infrastructures modernes sont présentes sur Maurice et la population est un véritable mélange des cultures ( français, anglais, chinois, indiens …).

L’île Maurice est considérée comme un hub pour l’innovation et les avancées technologiques.

Des incubateurs de start up se développent à Maurice dans le but de faciliter la création d’entreprises innovantes liées aux nouvelles technologies.

Le gouvernement national a pour objectif d’ouvrir le pays aux investisseurs étrangers et de mettre en place un climat d’investissement compétitif et attrayant.

Un entrepreneur s’il le souhaite pourra aller s’installer dans un espace de co working à Maurice. Ce concept permet aux indépendants de ne pas rester isolés et de travailler avec des entrepreneurs. Les espaces de coworkings permettent également de se créer un réseau et de pourvoir travailler soutenu en faisant des rencontres et ainsi de pouvoir bénéficier de conseils d’entrepreneurs. Pour n’en citer que quelques uns : « The Ground Collaboration Space » situé à Cassis, « Coworking Port Louis » situé à Port Louis, ou bien « La Turbine » situé à Moka.

Installés depuis mai à Maurice, la start up LeHibou.com créée en 2016 à Boulogne a décidé de faire appel à MeetYourJob pour sa délocalisation. Le service de recrutement les a aidés dans leur installation et les héberge dans leurs locaux pendant leur recherche de bureaux. Axel Bellancourt, co-fondateur du hibou.com nous fait part de son expérience : « LeHibou évolue dans un secteur très concurrentiel où la bataille pour faire venir les talents est rude. En ouvrant une antenne, quasi exclusivement constituée de Français expatriés et de VIE, nous nous sommes différenciés par rapport à nos concurrents en promettant un cadre de vie magique à nos nouvelles recrues. Résultats : le nombre de candidatures spontanées a été multiplié par 10 et nous a permis de recruter 5 collaborateurs en seulement 2 mois. La productivité des équipes a augmenté, tout comme leur satisfaction à venir travailler dans un cadre unique. Sur place, des sociétés spécialisées comme Smarttraveller.mu nous ont aidé à nous installer et à nous familiariser avec notre nouvel environnement. Last but not least, la politique fiscale avantageuse de l’île Maurice nous a permis de diminuer par 2 le coût des équipes sur place par rapport à Paris. ».

Ce choix de délocalisation leur a permis de se différencier sur le marché et d’apporter une véritable valeur ajoutée à la start up.

LA VIE EN ENTREPRISE : 

A l’île Maurice, la durée du travail est de 40h par semaine, 8 heures par jour. Le nombre de jours de repos hebdomadaires est de 2, celui des jours fériés payés est de 15.

20 jours de congé annuel sont accordés ainsi que deux jours supplémentaires. Les heures supplémentaires sont rémunérées selon l’accord avec l’employeur. Les jours fériés sont doublement rémunérés.

La vie en entreprise n’est pas du tout la même qu’en France comme s’en amuse Clémence, jeune expatriée ; « Ici, rien à voir avec la métropole ! Le stress et la pression ne sont pas les bienvenues dans notre espace de travail ! Ce qui est extraordinaire et que je n’ai retrouvé nul part ailleurs des valeurs qui me sont chères comme la tolérance, l’amour et la passion d’un projet. Engager les collaborateurs sur une seule et même vision pour avancer main dans la main et avec un pays ouvert au développement et aux innovations ! »

Sachez qu’à l’île Maurice les perspectives d’évolutions en entreprise sont grandes, vous pourrez monter les échelons très vite et avoir d’importantes responsabilités très rapidement.

      Les plus

  • Il existe un salaire minimum à l’île Maurice.
  • « Notre team est à l’image de notre si belle Île : multiculturelle ! Un partage et transfert de connaissances se font chaque jour ce qui permet à chacun de monter en compétences rapidement et dans tous les domaines oui la tech et le digital existent aussi sur une Île paradisiaque ! » Clémence
  • Toujours les cocotiers et les plages paradisiaques …
  • Une ouverture sur le reste du monde (L’océan Indien offre une multitude de destinations internationales. En avion, l’ile Maurice n’est qu’à 4h de Durban, 7h de Perth, 6h de Bombay, et 7h de Singapour).
  • Aucune barrière avec la langue ( le français et l’anglais sont parlés couramment).

      Les moins

  • Les transports en commun. Il existe seulement le bus Mauricien. Si vous n’avez pas votre voiture personnelle , il est compliqué de pouvoir se déplacer sur Maurice autrement qu’en taxi ou bus.

Permis de travail :

Le work permit  permet à un étranger de travailler sur le sol Mauricien. La structure visamauritius.com se charge de vous délivrer les WorkPermit.

Liens utiles : https://visamauritius.com

LA VIE SUR PLACE : 

« Franchement… savoir que la pause déjeuner peut se faire les pieds dans l’eau, sous le soleil (ou plutôt l’ombre…) que le soir dès que le laptop est plié et téléphone coupé on à cette merveilleuse impression d’être en vacances, d’être déconnectée… pas besoin d’attendre d’être en congé pour se ressourcer on peut le faire à n’importe quel moment et aussi bien côté mer que côté terre grâce à un patrimoine riche que possède Maurice ! Je ne regrette absolument pas mon expatriation ! »  nous raconte Clémence. Que peut-on ajouter ?

Au-delà d’être un paradis sur terre, l’île Maurice présente de nombreuses activités à faire et de nombreux endroits à découvrir. On ne va pas se le cacher, vous ne venez pas à Maurice pour aller visiter des musées et des expositions mais pour visiter des temples Indous et partir à la découverte de plages paradisiaques, nager avec les dauphins…. Partez à la découverte de l’ile plate, l’ilot Gabriel, ou bien l’île aux cerfs. Prenez de la hauteur en escaladant la montagne du Morne pour avoir une vue imprenable sur Maurice. Goutez au plat local : le Mine Frit. Sortez dans les restaurants, bars, et discothèques affichant des prix abordables. Seul bémol : les transports. En effet, si vous ne possédez pas de voiture, vous avez comme seul moyen de transport le bus (avec des horaires variables) et les taxis. La circulation automobile peut être assez chaotique !

Infos pratiques : 

  • Loyer 

Il est conseillé aux ressortissants étranger dans un premier temps de louer une location saisonnière afin de pouvoir prendre le temps sur place de visiter différents biens.

A Maurice les loyers pour une maison de type F3-F4 peuvent s’élever de 7 000 à 10 000 Rs à l’intérieur des terres, de 15 000 à 25 000 Rs aux abords des zones touristiques et de 35 000 Rs à 60 000 Rs en bord de mer.

De nombreuses agences immobilières à Maurice sont spécialisés dans la gestion locative à long terme ou bien dans l’acquisition de biens par les étrangers. Comme l’agence Villa Vie LTD située à Pereybere.  

  • Santé

L’île Maurice dispose d’un système de santé régi par le ministère de la Santé et de la Qualité de la Vie. L’île compte un grand nombre de cliniques et d’hôpitaux, privés ou publics.

Assurance santé  : 

Après avoir passés plus de 3 mois à l’île Maurice, les ressortissants étrangers doivent avoir recours à un système d’assurance volontaire privée. « La caisse des Français de l’Etranger ( CFE) offre une protection sociale, couvre les risques maladie et maternité́ dans la limite des tarifs et taux pratiqués en France aux expatriés de nationalité́ française et aux ressortissants d’un Etat européen précédemment a lies à un régime français de Sécurité́ sociale, résidant à l’étranger. »

Liens utiles : Question santé- Ministère de la santé et de la qualité de vie health.govmu.org

  • Internet et téléphonie mobile

Pour votre téléphone, vous pouvez utiliser l’opérateur téléphonique EMTEL ou Mauritius Telecom qui vous proposent un éventail d’offres allant de 6€ à 40€. Chez les mêmes opérateurs vous trouverez des offres TV et Internet.

  • Climat

L’île Maurice bénéfice d’un climat subtropical, les températures varient de 25° à 35°. Les températures sont plus élevées en été durant la saison humique et plus fraiches durant la saison sèche en hiver.

L’été se déroule de novembre à avril avec des températures vacillant de 27° à 35° accompagné d’un taux d’humidité très élevé.

L’hiver se déroule de mai à octobre accompagné de température moyenne entre 17° et 26°.

L’expérience mauricienne vous tente ?

Fini la routine métro – boulot – dodo et venez vivre cette expérience unique !

Nu kontan pu truve twa lor nu zil biento ! ( Au plaisir de vous voir à Maurice ! )

 

Vous souhaitez délocaliser votre entreprise ? Et vous ne savez pas où ?

L’Île Maurice présente de nombreux avantages pour les entrepreneurs et entreprises souhaitant y délocaliser toute ou une partie de leur activité. Ouvrir une structure à l’Île Maurice vous permet de faire d’importantes économies tout en bénéficiant d’une main d’œuvre qualifiée et en séduisant des talents étrangers.

1/ 1er Pays d’Afrique «  Ease of doing business » :

Maurice fait partie des 10 destinations au monde les plus avantageuses fiscalement.

L’Île Maurice est le pays d’Afrique le plus favorable aux entreprises et aux investissements, parfait donc pour la délocalisation. Tous les indices boursiers internationaux classent également l’Île Maurice au premier rang en Afrique sur différents points. Notamment pour la facilité de développer son business (20ème au niveau international dans le classement « Ease of Doing Business » de la Banque mondiale) ou l’Indice Ibrahim de la gouvernance africaine (IIAG). Il y’a quelques mois Forbes publie un classement des « Best Countries for Business 2019 » classant Maurice au 39ème rang mondial, 1er en Afrique pour faire des affaires.

2/ 4% de taux de croissance annuelle :

« Maurice a créé une économie, un système de gouvernement et un commerce qui surpasse le reste de l’Afrique. Cinquante ans après son indépendance, Maurice est devenue une ‘success story’ symbolique de l’émergence de tout un continent »  The Business Report 

Taux de croissance annuel du PIB

Aujourd’hui l’Île Maurice se trouve dans sa deuxième ère économique après avoir connu un boom durant les années 80/90 dans les secteurs du tourisme et de la manufacture. Le pays dispose d’une main d’œuvre qualifiée permettant de développer des secteurs à forte valeur-ajoutée comme les TIC ou la finance. Ce boom économique a contribué à augmenter le PIB par tête d’habitant. Lorsque que Maurice accédait à l’indépendance, le PIB par tête d’habitant était de USD 400, il est aujourd’hui à USD 10,500 !

3/ Délocaliser son entreprise permet de nombreux avantages fiscaux :

Afin de séduire les étrangers à délocaliser leur entreprise à l’Île Maurice et à developper l’économie, le gouvernement mauricien offre une multitude d’avantages fiscaux :

  • Aucun d’impôts sur les dividendes
  • Pas de RSI sur le chiffre réalisé à Maurice
  • Suppression des impôts sur les plus-values
  • Absence d’impôts sur les droits de succession pour les descendants directs
  • Profits et dividendes de sociétés situées hors de Maurice, rapatriables sans aucune restriction avec un taux d’imposition de 15 %
  • Taux d’imposition de 15 % sur le revenu
  • Exemption totale d’impôt pour les activités d’import-export
  • Taux d’imposition de 15 % pour l’activité de transformation
  • Exemption des droits de douane sur toute marchandise importée à travers le port franc
  • Impots sur les bénéfices des sociétés (IS) à 15% seulement

Délocaliser son entreprise à l'île Maurice : 9 avantages

4/  Accord de non-double imposition :

Auprès d’une quarantaine de pays, l’Île Maurice a passé des accords de non-double imposition dans le monde. La convention fiscale entre la France et Maurice, par exemple, inclut les avantages pour les entreprises délocalisées suivants :

  •  Les revenus locatifs sont taxés sur place à hauteur de 15 % seulement, après déduction des charges
  •  Les revenus sont ensuite exonérés d’impôts en France.

5/ Une culture bilingue : français/anglais :

L’Île Maurice est doté d’une population éduquée, qualifiée et bilingue français/anglais.

6/ La délocalisation à Maurice permet un fuseau horaire stratégique :

Le fuseau horaire GMT+4 est très avantageux pour le commerce international. Effectivement, il n’y a que 3 heures de différence en hiver et 2 heures en été entre Paris et l’Île Maurice.

7/ Situation politique stable :

L’Île Maurice est une république parlementaire, avec une démocratie stable. Le pays attire donc un grand nombre d’investisseurs et détient l’un des revenus par habitant les plus importants d’Afrique. Chef d’entreprise ! C’est le moment de délocaliser votre entreprise et venir nous rejoindre !

8/ Une situation stratégique :

Délocaliser son entreprise à l'île Maurice : localisation
Situé au cœur de l’Océan Indien, l’Île Maurice est l’endroit idéal si on vise l’Afrique pour la délocalisation de son entreprise. Le gouvernement souhaite promouvoir le pays comme plateforme régionale de stockage, marketing, distribution et logistique pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique du Sud ainsi que l’Océan Indien.

9/ Délocaliser son entreprise à l’Île Maurice, c’est signer pour une qualité de vie exceptionnelle :

Marre de la routine métro, boulot, dodo ? Envie de soleil et de bien-être ? On vous comprend !
L’Île Maurice offre un cadre de vie idéal. Entre ciel, mer et terre, vous serez loin de la pollution des grandes villes. Même avec un rythme soutenu vous pourrez profiter des plages paradisiaques et du soleil toute l’année.

Grâce à Somahazi et avec l’aide de Smartraveller, nous sommes heureux d’accueillir à Maurice 14 stagiaires venant de Mayotte. Anfaïta et Nadjati nous livrent leurs premiers témoignages.

Depuis le 26 décembre 2018, ces 14 demandeurs d’emploi sont en formation d’Assistant en Service Hôtelier (ASSHO) avec l’organisme de formation Somahazi à Mayotte. Pour leur stage pratique, ils auront l’opportunité de travailler pendant deux mois dans des structures hôtelières Mauriciennes renommées et soigneusement sélectionnées par MeetYourJob.

Pourquoi le choix d’un stage d’hôtellerie à l’île Maurice ?

A Mayotte, avec 84% de la population vivant sous le seuil de pauvreté, l’avenir des jeunes ne se prépare pas dans les meilleures conditions.
Pour Somahazi, l’objectif de cette formation avec un stage d’hôtellerie à l’île Maurice est d’anticiper le développement du secteur touristique à Mayotte, de pouvoir proposer des professionnels qualifiés aux structures hôtelières et para-hôtelières existantes ou pour intégrer les équipages des bateaux de croisières de l’Océan Indien où il y a une demande réelle.
Les hôtels Mauriciens répondent totalement à cet objectif. Ils ont d’ailleurs rapidement accepté de participer à l’apprentissage de ces jeunes afin de leur donner toutes les chances pour le futur.

 

« Je m’occupe des chambres, j’aime bien l’équipe et ce que je fais en stage. L’île Maurice c’est trop beau ! En plus, notre logement est juste à côté d’une plage alors on en profite dès qu’on peut ! » Anfaïta en stage à l’Hôtel Esprit Libre

 

Comment s’est réalisé ce projet avec MeetYourJob et Smart Traveller?

Si ce plan de formation pratique à l’île Maurice voit le jour aujourd’hui, c’est dans un premier temps grâce à la volonté du Conseil Départemental et de l’Etat par le biais du Pôle Emploi et de LADOM pour la mobilité.
Avec la confiance de Somahazi, l’équipe de MeetYourJob est fière de contribuer à l’insertion des jeunes Mahorais sur le marché du travail. Nous nous sommes chargés de trouver les meilleurs établissements hôteliers, de 4 à 5 étoiles. 20 Degrés Sud, Véranda, Esprit Libre, Mystik Life Style et Hibiscus nous ont fait confiance et accueillent aujourd’hui ces jeunes professionnels.
C’est notre partenaire Smart Traveller s’est chargé de tout le reste : logement, nourriture, avion et transports journaliers, afin que nos jeunes stagiaires profitent au maximum de cette belle expérience à Maurice.

 

« Tout se passe bien, l’équipe est très sympa. Depuis notre arrivée, on a bien profité de la plage, on a fait un tour de bateau et un petit-déjeuner avec l’équipe MeetYourJob et Smart Traveller. » Nadjati en stage à l’Hôtel Veranda.

 

Sinina, Houdhoyfati, Hadidja et Amina interviewées par la MBC (chaîne nationale Mauricienne !!) à l’hôtel 20 degrés Sud. Cliquez ici pour voir le reportage qui est passé à la télévision

 

On espère que ce premier batch de 14 élèves en stage hôtelier à l’île Maurice est le début d’une longue collaboration entre MeetYourJob, SmartTraveller et Somahazi, le deuxième batch arrive déjà mi-juin !

2018 c’est terminé, place aux « bonnes résolutions » ?

Ça y est, nous y sommes, c’est la fin de l’année ! Pour la plupart c’est l’heure du bilan et de prononcer ces fameuses « Bonnes Résolutions » pour la nouvelle année qui arrive ! AU SECOUR qui a décrété de dresser cette liste là ? Cherchez bien….

 

Comme le dit notre cher Wikipédia, « les bonnes résolutions » sont une coutume de la civilisation occidentale qui consiste à prendre un ou plusieurs engagements envers soi-même pour améliorer son comportement, une habitude ou un mode de vie.

« Améliorer », ce verbe à mon sens n’est pas convenable, il signifie se rendre meilleur, changer en mieux… Je suis sûre que tout le monde et vous chers lecteurs que vous n’avez rien à améliorer. Je dirais que nous sommes plus dans une démarche d’évolution, d’apprentissage… ! Ces mots sonnent mieux, non ? 

 

Le conseil de l’équipe MeetYourJob

 

L’équipe de MeetYourJob, vous donne un bon conseil : arrêtez de vous prendre la tête, abandonnez l’idée de faire une liste de « Bonnes Résolutions » et soyez plus indulgents avec vous-même !!!

Commencez peut-être à vous fixer une petite action à faire (on insiste bien sur 1 action et pas des actions) et surtout atteignable comme par exemple : tous les  jours je me prends 3 minutes pour respirer à fond pour me détendre ! Croyez nous c’est une action qui en vaut la peine et qui est ultra simple à mettre en place. Et surtout elle est bénéfique pour notre corps et notre esprit.

Evitez de vous fixez des objectifs inatteignables : je me mets au jogging 3 fois par semaine / je vais dire les 4 vérités à mon boss et claquer ma démission (si c’est le cas prenez le temps d’y réfléchir, appelez nous et consultez nos offres sur www.meetyourjob.com) /  J’arrête le chocolat le soir devant mes séries préférées / je ne consulte plus mon téléphone et donc les réseaux sociaux à partir de 21h…QUE NENNI !

Faire du sport c’est important mais déjà une fois par semaine c’est bien ! Le chocolat c’est bon pour la santé ! Communiquer avec son boss c’est bien mais évitez les conflits c’est mieux. Bon pour le téléphone portable, se couper de lui le soir c’est quand même bien, ça repose notre mental !

 

Profitez de cette fin d’année pour vous ressourcer, profitez de votre famille pour démarrer janvier avec sérénité, avec de nouveaux projets ou pas ! L’important est d’être bien avec soi-même et ne pas s’imposer des choses qui ne nous correspondent pas !

Respirez et c’est gagné !

 

Toute l’équipe de MeetYourjob, vous souhaites d’excellentes fêtes de fin d’année !

Mathilde - son stage à l’étranger 2

Mathilde vous raconte son expérience chez MeetYourJob à l’Île Maurice. Un stage à l’étranger unique dans un environnement dynamique et paradisiaque. 

 

1/Mathilde, peux-tu te présenter ?

J’ai 23 ans, je viens de terminer mes études, avec un Master Marketing et Transformation Digitale obtenu à Novancia Business School Paris. Avant ça, j’ai réalisé une troisième année en Bachelor Commerce et Entrepreneuriat dans cette école, suite à un BTS Communication. J’ai un profil orienté communication, marketing et digital.

Mon parcours professionnel : j’ai effectué 4 années en alternance dans ces domaines et dans différentes entreprises. J’ai eu l’occasion et la chance de travailler au sein de grands groupes comme de petites structures. Ce qui m’a permis d’assimiler la rigueur et les bonnes pratiques des grands groupes et de les associer à la flexibilité et à l’agilité des entreprises de plus petite. J’ai accumulé de l’expérience et des compétences qui m’ont permis d’être responsabilisée sur mes derniers postes, notamment dans mon tout dernier stage chez MeetYourJob à l’Ile Maurice.

 

2/ Pourquoi vouloir faire un stage à l’étranger ?

Dans le cadre de mon Master, un stage à l’étranger de 4 mois était obligatoire. Ce type de stage représente quelques « sacrifices » ; dans mon cas, ça voulait notamment dire vivre loin de mon copain et de mon chat (oui oui !), et devoir être soutenue financièrement par mes parents puisque je n’allais plus avoir les mêmes revenus que j’avais en tant qu’apprentie. Si ça n’avait pas été obligatoire, ces obstacles m’auraient probablement retenue et je ne serais pas partie à l’étranger. Avec mon expérience, je ne le regrette pas du tout. Je suis heureuse d’avoir eu l’occasion de sortir de mon confort et de découvrir tant de choses ! Faire son stage à l’étranger et voyager, c’est une opportunité à ne pas manquer et je pense que tout le monde devrait pouvoir en faire l’expérience au moins une fois dans ses études (mais pas que bien sûr !).

 

3/ Beaucoup de tes amis, camarades, sont eux aussi partis à l’étranger ?

Tous les étudiants de mon école bien sûr, puisque c’est obligatoire. Mais en dehors de mon école, j’observe de plus en plus de jeunes partir à l’international. Certains partent pour étudier, d’autres pour réaliser des stages, pour faire des road trips, des missions humanitaires ou encore pour travailler tout simplement ! Je crois que c’est devenu quasiment indispensable dans la plupart des formations, ce que je trouve super. Mais j’ai l’impression que le goût du voyage et de la découverte d’autres cultures prennent de plus en plus d’ampleur aussi, sur un plan personnel.

 

4/ Comment as-tu démarré tes recherches pour ce stage ?

Je n’avais pas de destination de prédilection, de pays ou de lieu où je voulais absolument partir. J’étais ouverte à tout, avec une préférence pour les pays anglophones car je voulais acquérir une autonomie parfaite en anglais. J’avoue, avec la grisaille parisienne, j’ai un peu délaissé le Royaume-Uni car j’avais aussi besoin de soleil ! Comme il fallait bien commencer quelque part, j’ai démarré mes recherches de stage à l’étranger avec les Etats-Unis. C’est presque banal et cliché, mais une part de moi avait bien envie de tester l’American Dream pour quelques mois ! J’ai eu quelques opportunités, mais les démarches étaient assez compliquées entre la durée de mon stage qui n’était pas idéale, l’obtention du Visa J-1…

J’ai fini par étendre mes recherches à d’autres destinations, et je publiais mon CV sur des groupes Facebook dédiés à la recherche de stage à l’étranger. C’est là que j’ai découvert MeetYourJob, qui publiait des offres dessus !

 

5/ Pourquoi MeetYourJob vs d’autres prestataires ?

Ça s’est fait assez naturellement. Plusieurs offres de stage publiées sur MeetYourJob m’intéressaient, j’ai donc postulé pour 4 offres différentes, dont une pour MYJ justement. Je n’ai pas rencontré d’autres prestataires de ce genre sur l’île Maurice. Il est vrai que je n’aurais pas postulé auprès d’un organisme payant qui promet de nous trouver un stage à condition de débourser une somme assez élevée, par exemple.

Mais il est vrai que j’ai été très enthousiaste en postulant chez MY. Les offres de stages étaient très motivantes et j’avais pu observer sur les réseaux sociaux de MYJ et sur leur FAQ comment se déroule l’expérience des stagiaires à Maurice. Ça m’a beaucoup rassurée et je me suis dit que c’était vraiment idéal. Notamment au niveau du logement grâce aux appartements proposés dans les résidences. Ça voulait dire être toujours entourée d’autres stagiaires et donc vivre un super expérience. Sans se prendre la tête avec une recherche de logement impossible !

 

6/ Tes premières impressions en arrivant à l’Île Maurice ?

Quand je voyage, j’aime bien me laisser porter et ne pas trop préparer les choses (est-ce qu’on peut appeler ça de la flemme ?). Même pour ce stage à l’étranger de tout de même 4 mois, je m’étais à peu près renseignée sur la météo mais sans plus. En arrivant, je ne savais même pas quelle langue j’allais parler. Je m’attendais à parler anglais tout le temps, mais en fait tous les mauriciens parlent français !

C’était assez rassurant, même si cela voulait dire que je n’allais pas trop améliorer mon anglais. Le fait de vivre en communauté avec d’autres stagiaires, quasiment tous français, a renforcé ce « non-dépaysement ». Heureusement, on faisait des excursions tous les week-ends qui nous permettaient de rencontrer des mauriciens, de mieux connaître leur culture et la beauté du pays. Pour un français, l’île Maurice c’est parfait car il y a le dépaysement culturel et paysagé, sans la barrière de la langue !

 

7/ Ton stage à l’étranger chez MeetYourJob : quelles ont été tes missions ? As-tu senti une différence avec tes stages en France ?

Chez MeetYourJob, j’ai pris en charge toutes les missions de communication et marketing, qui sont principalement digitales. J’ai géré le site web, son blog avec le choix du calendrier éditorial et la rédaction des articles, les réseaux sociaux et les newsletters principalement.

J’ai aussi eu l’opportunité d’agir sur la réflexion stratégique autour de MeetYourJob et des autres activités de l’entreprise. C’est quasiment la première fois qu’on me donnait autant de liberté et de confiance, ce qui m’a permis de ne jamais avoir peur de tester et de proposer mes idées. J’avais une totale autonomie. En théorie c’était un stage, mais je l’ai vécu différemment. J’étais une vraie professionnelle avec son vrai poste à responsabilités et dont on attend des propositions ! C’est la grande différence avec mes autres expériences françaises, mais je pense que ça tenait surtout à la culture de MeetYourJob qui est une start-up jeune et qui accorde vraiment beaucoup de confiance. Bien sûr, mes expériences précédentes m’avaient bien formée pour enfin atteindre ce niveau d’autonomie.

Mathilde - son stage à l’étranger 3

 

8/ Que retiens-tu de ton expérience à l’Ile Maurice ?

Que le monde est génial ! Ça m’a vraiment donné envie de voyager. C’est quelque chose qui booste et qui inspire. Au niveau professionnel, ça m’a confirmé que je souhaite davantage travailler au sein de petites structures. Comme dans une dynamique start-up où on essaie de toujours se remettre en question et où on veut faire la différence. Cette expérience m’a aussi dévoilé que je pouvais voyager seule et faire énormément de choses.

 

9/ Recommanderais-tu de partir vivre une expérience professionnelle à l’étranger ?

Oui à 100% ! On ne peut qu’en sortir grandi. Il y a tellement de pays et de cultures à découvrir, chacun peut s’y retrouver et se créer une expérience incroyable en fonction de ce qu’il souhaite vivre. Professionnellement, c’est important et très intéressant pour sortir des pratiques que l’on connaît déjà en France et s’inspirer d’autres méthodes et cultures de travail. À chacun de choisir, ça peut être au sein d’une start-up comme d’un gros groupe international !

 

10/ Et maintenant, quels sont tes projets ?

Je suis revenue de Maurice il y a 1 mois. Je souhaite me donner du temps pour souffler après ces années d’alternance au rythme éprouvant, où j’ai énormément donné. J’ai un peu peur que mon entourage me mette la pression pour trouver « un vrai travail ». C’est-à-dire le fameux CDI à temps plein dans une bonne boîte.

Pour le moment, j’ai décidé de m’inscrire en tant que demandeur d’emploi et, dans le même temps, d’enfin obtenir le statut d’auto-entrepreneur. L’idée, c’est de démarrer mon activité en freelance dans le conseil en communication et marketing. Avec pour premier client MeetYourJob 😉.  Tout ça en me laissant du temps libre pour d’autres choses : passer le permis, continuer à me former, apprendre à coder, découvrir de nouvelles disciplines… J’aime l’idée de pouvoir moduler mes activités. Par la suite, je ne suis pas réticente à un job salarié ou à autre chose en fonction des opportunités. Comme pour le voyage, je suis très « wait and see » 😉

 

Merci à Mathilde de nous avoir donné son retour sur son expérience avec MeetYourJob ! Si vous êtes en recherche de stage à l’étranger, faites comme Mathilde, ne lâchez rien ! On vous donne d’ailleurs quelques conseils par ici : 8 règles simples pour réussir son stage.

Diplôme en poche, un autre chapitre de votre vie s’ouvre à vous ! Et quel chapitre, celui de votre vie professionnelle. Pour certain les idées sont claires, pour d’autre c’est plus flou : je cherche un job, je fais un break pour me lancer dans un projet associatif, je me laisse du temps pour réfléchir à la suite… mais quelle suite ?

On s’imagine souvent, qu’une fois diplômé(e) tout va être simple. Vous étiez lancés sur des rails pendant votre scolarité et maintenant vous êtes lâchés dans le grand bain de l’Après, de la vie d’adulte, avec un champ des possibles large : obtenir son 1er job, monter son entreprise, apprendre un métier (le marketing ce n’est pas pour moi, être ébéniste pourquoi pas), partir faire de l’humanitaire… AU SECOURS

Cet article est dédié à ceux qui n’ont pas les idées claires concernant leur avenir proche, pour ceux qui se posent beaucoup de questions et qui se sentent bloqués dans une situation peu confortable.

Une solution : LE COACHING

Votre entourage ne peut pas toujours vous aider, faire appel à un professionnel débloquera plus vite votre situation.

Dans notre société le coaching a une vraie légitimité. Les entreprises font appel à des professionnels pour aider leurs salariés. Des particuliers franchissent le pas d’un cabinet pour optimiser leur carrière.

Le coaching n’est pas réservé uniquement à ceux qui ont déjà démarré une vie professionnelle. Aujourd’hui beaucoup de jeunes y ont recours. Il n’y a pas d’âge pour se poser des questions.

 

Le coaching c’est quoi ?

Le coaching c’est un accompagnement personnalisé cherchant à améliorer et mettre en avant vos compétences. Il a pour objectif d’aller chercher au plus profond de vous ce que vous voulez vraiment à ce moment précis de votre vie. Le coaching vous aide également à vous fixer des objectifs concrets et atteignables. Attention le coaching n’est pas synonyme de thérapie, le but est d’aller réveiller vos envies les plus enfouies. C’est une quête vers votre épanouissement.

Le coaching c’est aussi une méthode qui vous aidera à être plus performant, à vous structurer. D’optimiser votre façon de travailler, d’organiser, de manager. Un coach vous permettra de faire un point sur votre carrière et vos compétences professionnelles, notamment en vous conseillant sur la rédaction de votre CV ou comment réussir un futur entretien.

 

Comment ça se passe ?

En générale comptez entre 4 et 6 séances qui se dérouleront sur 2 mois environ.

 

Comment trouver un bon coach ?

En règle générale le bouche à oreille fonctionne très bien. Parlez-en à votre entourage

Si cette méthode ne donne rien, consultez les écoles de coaching qui pourront vous renseigner ou bien votre ancienne conseillère d’orientation qui pourra peut-être vous donner des contacts.

Prenez le temps avant de vous lancer, mais n’attendez pas que la situation vous pèse plus. La vie est un long et beau chemin parfois semé de questionnement, se faire aider à certaines étapes de notre vie c’est important. Alors n’hésitez plus !

RESPIREZ ET TOUT VA BIEN SE PASSER

 

Partagez vos expériences sur notre blog

 

Faire carrière….pour vous, à quoi cela correspond ? Rester 40 ans dans la même entreprise ? Faire le même métier tout au long de sa vie professionnelle ? Gravir les échelons pour atteindre le poste tant convoité ? Être heureux au travail ?

Et si c’était tout simplement une vie professionnelle sur mesure, que l’on décide de vivre, de façonner à sa convenance, à ses envies.

Une vie professionnelle dans laquelle on cumule à la fois plusieurs jobs pour répondre à un besoin simple : être en totale adéquation avec son bien être personnel.

Ça vous parle, ça vous tente ? Faites partie des slashers

Une révolution dans le monde du travail : La génération slashers ?

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Le « slashing » est un terme qui apparaît pour la première fois il y a déjà 11 ans dans l’ouvrage de l’américaine Marci Alboher, « One person/multiple carreers ». En 2010, l’auteur et entrepreneur Seth Godin, ancien responsable marketing direct chez Yahoo, vulgarise le concept à travers une analogie :  « Mon grand-père a fait le même travail toute sa vie, mon père a eu sept emplois différents tout au long de sa carrière et moi j’ai eu sept emplois en même temps ».

Le slasher a généralement entre 25 et 35 ans et il révolutionne petit à petit notre façon de travailler. Le schéma traditionnel du même métier tout au long d’une vie est en passe d’être obsolète. Il laisse alors place à ces touches à tout qui revendiquent cette grande liberté de travail.

 

Slashers : un choix de vie

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, 70% des slashers le sont devenus non pas par obligation financière mais par choix. Même si l’argument financier joue son rôle, les slashers y recherchent autre chose. Comme le dit Alain Bosetti, président du salon SME « les slashers souhaitent en premier lieu compléter leurs revenus mais également conjuguer travail, plaisir et indépendance ».

 

Envie de liberté

L’envie d’être libre dans sa façon de travailler (temps, planning, contrat…) est une grande motivation pour cette génération. Le CDI n’est plus le graal, beaucoup apprécient l’idée d’être son propre patron en créant sa propre entreprise, certains préparent une reconversion et d’autres souhaitent assimiler de nouvelles compétences. Peu importe la motivation, il s’agit pour eux d’exprimer plusieurs facettes de leur personnalité.

Effectivement, ces jeunes actifs n’ont pas envie de se battre pour un contrat pérenne. Pour eux, le jeu n’en vaut pas la chandelle. Les slashers n’accordent, en effet, que peu d’importance à l’ancienneté, l’avancement ou les promotions possibles d’un système traditionnel mis en place par les générations précédentes.
L’estime de soi et le bonheur au travail passe par la liberté de faire ce qu’il leur plaît. Astrid a fait le choix de ne pas choisir : « aucune de mes semaines de travail ne se ressemblent, je vis mes projets à 2000%, c’est un réel plaisir de cumuler plusieurs métiers. Je ne reviendrais dans un schéma classique pour rien au monde » . Et si c’était ça le bonheur au travail ?

 

Vous aussi, vous êtes un Slashers ou en passe de le devenir ? Racontez-nous votre parcours, partagez votre expérience. Nous serons ravis de publier votre portrait sur notre blog.

L’entrepreneuriat, ça motive. Les entrepreneuses, ça inspire. L’île Maurice, ça fait rêver. On a sorti le shaker, on a pris un peu de tout ça et on vous a concocté un cocktail de portraits frais et boostant ! Chaque semaine de septembre, on pose des questions à une entrepreneuse sur son parcours. Découvrez quatre femmes qui ont fait éclore leurs idées à Maurice, et tout ce qu’elles ont à nous apprendre !

 

Pour ce quatrième et dernier portrait de notre dossier, nous avons laissé la parole à Marie-Noëlle Elissac-Foy. Plusieurs vies, de nombreuses expériences, toujours de la passion. Cette Mauricienne inspirée aime les projets originaux qui sortent des sentiers battus, et y mettre tout ce qu’elle a. Trêve de bavardage ; pour ce dernier numéro, savourons juste un parcours initiatique vers l’entrepreneuriat comme on les aime !

 

La presse

J’ai eu plusieurs vies professionnelles. Dans les années 90, j’ai été journaliste un an, puis j’ai obtenu une bourse pour faire des études de lettres en France. Quand je suis rentrée à Maurice, je suis immédiatement retombée dans la presse. J’ai commencé comme secrétaire de rédaction pour le groupe média La Sentinelle. J’ai eu la chance de pouvoir gravir les échelons assez rapidement : j’y suis entrée en 1998 comme secrétaire de rédaction, et sortie en 2008 comme rédactrice en chef, en ayant travaillé pour des produits comme L’Express.mu, le magazine Essentielle que j’ai créé, ou encore le magazine Panorama qui est un conso-mag. Fonder le magazine Essentielle m’a permis de dépasser le rôle de rédactrice en chef et d’avoir un pied dans la communication, puisqu’il fallait travailler sur le lancement et tout ce qu’il y avait autour.

 

Le tilt

Quand j’occupais ces fonctions, des promoteurs d’événements venaient vers moi. Ils n’étaient pas organisés, ils ne savaient pas comment mettre leurs événements en avant, ni comment la presse fonctionnait. C’est un peu comme ça qu’une petite voix dans ma tête m’a dit « tu peux faire autre chose, tu peux être quelqu’un d’autre ».

 

La transition

Après ma carrière à La Sentinelle, j’ai eu une proposition d’emploi et l’opportunité de travailler dans l’hôtellerie. Pendant un an, j’ai travaillé sur des projets de responsabilité sociale d’entreprise. Je n’ai pas continué ; l’expérience ne m’a pas plu dans le sens où je voulais toujours travailler pour moi.

Quand j’ai quitté La Sentinelle, j’avais déjà 10 ans de carrière. La première chose que j’ai faite en quittant l’entreprise, c’était de créer la mienne : Talent Factory. En parallèle, j’ai fait plein de choses. J’alternais entre différentes activités et Talent Factory, à mi-temps, où je travaillais sur de l’éditorial et des relations presse. J’ai toujours mêlé et mené les deux de front. En 2015, je me suis finalement consacrée à Talent Factory à plein temps.

Quand on se lance dans l’entrepreneuriat, il y a toujours cette part d’angoisse. Est-ce qu’on peut tout lâcher et travailler pour soi ? J’ai pris mon temps avant de me décider à être à plein temps sur mon activité indépendante.

 

Aujourd’hui

Je fais des relations presse et des relations publiques pour des entreprises, des personnes, des associations diverses et variées. Je leur mets à disposition ma connaissance des médias, et aussi mon approche. Je crois que les gens approchent les événements avec un aspect trop marketing ; moi j’aime bien voir le « bigger picture », le message derrière l’événement que les gens doivent retenir.

Mon premier gros client était le label Made in Moris. Je suis ravie qu’ils me fassent confiance depuis trois ans maintenant pour leurs relations presse. C’est passionnant car c’est une démarche que j’adore, à laquelle j’adhère : tout est fait localement. C’est vraiment agréable de mettre en avant la marque et les personnes qui sont derrière, et de valoriser leur message.

Aujourd’hui, chaque client bénéficie de mes plusieurs vies professionnelles. J’aime quand on vient vers moi avec une problématique, et qu’on me demande ce qu’on peut faire de différent. C’est important pour moi de ne pas faire les choses comme tout le monde. Je suis passionnée, c’est peut-être un défaut de ma part mais je veux vraiment croire moi-même au projet de la personne et me donner à fond.

Justement, je viens de faire le lancement d’un petit cabinet d’audit interne et externe, pour une femme qui s’est mise à son compte. Elle est venue me voir en me disant qu’elle voulait faire quelque chose de différent. En parlant, on s’est aperçues qu’elle avait choisi un arbre comme logo, car elle adore ça. Je lui ai dit « dans ce cas, pourquoi tu n’aurais pas une exposition de bonsaïs à ton lancement ? ». Ces arbres qui sont petits mais solides étaient une symbolique parfaite pour son branding et son lancement. On a donc organisé un lancement corporate, mais qui commençait par une présentation sur le bonsaï, se continuait avec une mini-exposition, et un départ des invités avec des bonsaïs en cadeau. C’était le fil rouge de la soirée. Tout le monde l’a félicitée en lui disant que c’était excellent, que c’était original. On avait peur que ça ait l’air bizarre, mais finalement c’était un concept fort.

 

L’entrepreneuriat…

Smart Moves For Entrepreneurs est un mouvement que j’ai cofondé en 2016 avec Jean-Max Appanah, qui accompagne plus de 200 petites entreprises avec son cabinet comptable. Il s’est rendu compte qu’il lui manquait une plateforme pour les réunir ; nous avons donc créé cette plateforme. Le manque d’accès à l’information, pour les entrepreneurs mauriciens, est une grande faiblesse. Des choses se font, mais on n’a pas les bonnes informations. Le réseautage aussi, la mise en relation, c’est très important. On a besoin de partager avec d’autres personnes sur ses expériences.

Smart Moves For Entrepreneurs reste une initiative privée, on n’a pas voulu se structurer comme une association parce qu’on veut garder notre liberté.

 

… les femmes…

Je travaille en tant qu’indépendante, mais parfois je fais appel à d’autres personnes lorsque j’ai besoin de compétences complémentaires. La plupart du temps d’ailleurs, ce sont des femmes. Je trouve que c’est important car souvent, les femmes ont peur de se lancer. Etant femme moi-même, je peux leur donner cette attitude pour mieux s’exprimer, mieux s’épanouir si elles veulent se mettre à leur compte. J’ai un jour travaillé avec une stagiaire Graphic designer. Je lui ai dit « ne va pas travailler dans une agence, mets-toi à ton compte. Tu as les compétences, ça va fonctionner ». Je suis comme une accompagnatrice, j’essaie de les rassurer.

 

… et Maurice

Il y a un potentiel pour les produits locaux à Maurice. Les touristes deviennent de plus en plus intelligents, ils savent faire la différence entre un produit made in China et un produit mauricien. Et les femmes, pour tout ce qui est travailler avec les mains, artisanat, ont un potentiel. Il y a un deuxième potentiel dans l’entrepreneuriat au féminin, ce sont les services. Toutefois il ne faut pas voir l’entrepreneuriat comme la seule voie royale. Le plus important, c’est que la personne s’épanouisse dans le rôle qu’elle souhaite. Elle peut choisir de s’épanouir dans sa carrière, dans son rôle de maman ou autre, on n’est pas là pour juger.

 

Une vie de plus

Si je devais lancer un nouveau projet, j’ouvrirais une table d’hôte à Crève Cœur, là où j’habite. C’est un rêve !

J’aimerais aussi faire du tourisme vert, toujours à Crève Cœur. C’est un petit village magnifique dans le Nord de l’île, j’y suis depuis trois ans et il y a un potentiel énorme pour le tourisme de découverte de la région. C’est une vie très différente là-bas. Il y a des sentiers pour faire des trails, de la randonnée… C’est très vert. Tout le monde peut venir découvrir mon petit village !

L’entrepreneuriat, ça motive. Les entrepreneuses, ça inspire. L’île Maurice, ça fait rêver. On a sorti le shaker, on a pris un peu de tout ça et on vous a concocté un cocktail de portraits frais et boostant ! Chaque semaine de septembre, on pose des questions à une entrepreneuse sur son parcours. Découvrez quatre femmes qui ont fait éclore leurs idées à Maurice, et tout ce qu’elles ont à nous apprendre !

 

La gestion et l’organisation, Karen les a dans la peau. Elle était probablement prédestinée à la logistique et à la conception d’événements ! C’est pourtant presque par hasard que Karen s’est retrouvée à la tête d’Agilex, une entreprise de livraison et de courses pour les restaurants. Le destin a aussi mis sur son chemin la SPIN, une nouvelle forme de workshops et team buildings rythmés qui promeuvent l’innovation à Maurice.

Entrepreneuse « formée sur le tas » mais qui sait ce qu’elle fait, Karen est la reine de l’optimisation du temps (on la soupçonne aussi d’être très douée à Tetris). Découvrez son parcours !

 

Bonjour Karen ! Peux-tu tout d’abord nous expliquer tes activités et ton histoire avec elles ?

Je gère avant tout Agilex, une entreprise de logistique et de distribution dont la majorité des clients sont des restaurants. C’était au départ l’entreprise d’un ami, que j’ai rejointe en proposant de lui donner un coup de main. Début 2017, il a pris la décision de se retirer. A ce moment-là, soit je reprenais l’entreprise, soit on mettait les employés dehors. Je ne voulais pas ça, j’avais envie de me battre encore pour ces gens-là. J’ai donc repris les rênes, et actuellement on est cinq dans l’entreprise.

La SPIN, c’est un concept que j’ai découvert en tant que participante. Je m’étais inscrite à ce workshop public, qui avait pour thématique le développement durable et la création de projets responsables. Pendant quelques heures, les participants sont mis en équipes et sont challengés durant des « sprints » chronométrés. Chaque sprint prend la forme d’une sorte de jeu de société, dont les règles nous amènent à créer des pitchs pour le projet, apprendre à manager, mieux collaborer… J’ai adoré l’événement, et je suis allée voir les organisateurs pour leur faire part de mon enthousiasme. Au même moment, je travaillais sur la conception d’un événement appelé le Pitchathon pour Project Getaway, une « colonie de vacances » pour entrepreneurs que l’on devait accueillir à Maurice. J’ai travaillé main dans la main sur ce projet avec Marine, la créatrice de la SPIN. Par la suite, j’ai participé à une seconde SPIN ayant pour thème l’exclusion sociale, cette fois en tant que coach pour les participants. C’est suite à cette rencontre avec Marine, et à son départ de Maurice, que j’ai finalement repris le projet SPIN pour le développer.

La gestion d’Agilex et de la SPIN sont aujourd’hui mes deux activités principales, et je gère également une galerie d’art à côté de ça !

 

Première SPIN : Karen n’était alors « que » participante !

 

Qu’est-ce qui t’a motivée à te lancer dans ces deux projets ?

J’adore structurer des projets, je trouve ça super intéressant. Un jour, une personne m’a dit que j’étais une « ingénieure organisationnelle » ! Une entreprise grandit puis elle devient rôdée, mais ça prend beaucoup de temps de faire une entreprise, et c’est ça qui m’intéresse. J’adore la réflexion stratégique qu’il faut avoir pour arriver à un point spécifique. J’aime aussi l’idée d’avoir aidé à créer des emplois, même si ce n’est pas pour beaucoup de personnes. Je ne suis pas dans les opérations directes des projets sur lesquels je travaille. Mon rôle et mon but, c’est de faciliter la croissance de personnes au sein de mes entreprises, de leur donner accès à de nouvelles responsabilités et de nouveaux défis.

Concernant la SPIN, ce qui me motive c’est la participation à la culture de l’innovation, de la collaboration. J’adore l’idée de pouvoir contribuer à créer ou développer ça à Maurice. L’idée de casser les réseaux traditionnels, pour en créer de nouveaux au moment d’un événement.

Au programme : brainstormings géants et colorés !

 

J’aime aussi le challenge. Quand j’ai fini mes études, j’avais vraiment besoin de sortir du monde théorique, pour avoir un peu d’expérience de vie. Et l’entrepreneuriat m’a donné ça, fois mille ! D’un coup tout a été accéléré, tout a été plus intense, et les enjeux ont été beaucoup plus gros que si j’avais été en entreprise en tant que salariée. Même si aujourd’hui, avec le recul, je me dis que ça aurait été bien d’avoir un peu plus d’expérience en entreprise. J’ai eu des expériences au Brésil, aux Etats-Unis, à Maurice aussi… mais elles manquaient un peu de responsabilités, et ça aurait été important pour moi avant d’arriver là où je suis. Malgré tout, cela m’aurait pris des années avant d’avoir un poste à responsabilités, donc ça a été un choix de ne pas gravir les échelons d’une entreprise, et de me former sur le tas.

 

Ces expériences à l’international, c’est tout de même formateur !

Oui, j’ai eu l’occasion de voir beaucoup de choses. J’ai travaillé dans le domaine des ressources humaines à Maurice, et j’ai aussi été en centre d’appel avant de partir aux Etats-Unis. Là-bas j’ai eu beaucoup d’expériences : j’ai fait un stage chez une avocate, un autre à Hollywood avec un acteur… J’ai vu pas mal de modèles de travail. Au Brésil j’ai fait du consulting, auprès de deux grosses boîtes qui étaient dans le pétrole. Quand je suis revenue à Maurice, pendant un an je me suis un peu cherchée. J’ai été consultante bénévole auprès de cinq PME, j’ai fait de la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises), j’ai bossé dans une boîte de communication digitale… Et c’est après que j’ai lancé ma première entreprise, Curl Attitude. C’est aujourd’hui l’un des produits d’Agilex, qui importe et distribue des produits pour les cheveux bouclés. J’ai toujours voulu créer une entreprise, mais j’étais dans des pays qui ne me permettaient pas de le faire. Maurice a vraiment été le meilleur endroit pour moi.

Curl Attitude a initié en 2017 le Curl Fest, grande rencontre dédiée aux cheveux bouclés. Dans une démarche simple : la célébration et l’acceptation de soi !

 

Quelles compétences t’ont manqué au moment de te lancer ?

J’ai naturellement un esprit de gestion. D’autres expériences pro m’auraient toutefois permis d’avoir des fondations un peu plus solides, en finance par exemple. Avoir une connaissance plus aigüe de ces choses-là te permet de prendre des décisions. Parce que dans une boîte, tu as besoin de prendre des décisions chaque jour, chaque minute. Il n’y a aucun choix qui n’a pas de prix : tout ce que tu décides de faire ou de ne pas faire a un coût ! Je ne sais pas si j’aurais appris plus vite dans une entreprise, mais j’aurais aimé me perfectionner.

 

Tu as dit que tu avais toujours voulu entreprendre. Comment c’est venu à toi ?

Je fais partie de la génération qui veut avoir un impact, donc c’était assez naturel que mon envie d’entreprendre se développe. J’ai fait des études en relations internationales, je me destinais à travailler pour des ONG. Finalement, ce n’était pas le moyen d’avoir un impact pour moi. L’entrepreneuriat a été ce moyen.

 

Tu as dit aussi qu’aucun autre pays que Maurice n’a pu t’offrir la possibilité d’entreprendre.

Oui, tout simplement parce que l’un de mes indispensables, c’est le soutien de ma famille et de mes proches. J’ai besoin de ça, et je ne pouvais pas l’avoir en étant loin. Le réseau aussi est important, et il est moins large à l’étranger.

 

Quel est ton conseil à une personne qui souhaite entreprendre à Maurice ?

A Maurice, il faut se déplacer et aller voir les gens. Il faut privilégier le contact direct : pas de mail, ou même de téléphone. Quel que soit l’interlocuteur, même un fournisseur par exemple. Il faut rencontrer les gens au maximum et avoir de vraies interactions.

 

Hors entrepreneuriat, un conseil pro à partager à tous ?

Être curieux ! C’est quelque chose de personnel, c’est à chacun de développer cette curiosité. C’est elle qui permet de trouver des solutions. Une activité demande toujours optimisation ; rester curieux est une des clés pour s’améliorer, quel que soit le domaine finalement.

 

Une bonne adresse mauricienne à partager ?

Vaneron Garden Center, une pépinière à Trianon. Ils ont un super restaurant, dans un petit jardin. Je suis fan des endroits cachés, un peu improbables !

 

OP-TI-MI-SA-TION ! C’est le maître-mot de Karen ; ce serait presque une philosophie. Toujours au service de ses valeurs bien sûr : créer des emplois, voir grandir des personnes et des entreprises, c’est ça son moteur. Quels sont vos propres moteurs ? ?