Vous est-il déjà arrivé d’embellir les choses ? de les empirer ? de vous mentir à vous-même ? ou encore d’attribuer à tort certaines qualités ou défauts ? 

La réponse est très certainement oui… Eh oui, car il nous arrive tous de prendre des décisions irrationnelles, de porter des jugements ou encore de tirer des conclusions sans preuve évidente. Ce phénomène porte un nom : le biais cognitif, concept né dans les années 1970 grâce aux travaux de recherches de Daniel Kahneman et Amos Tversky, docteurs en psychologie et experts de la psychologie cognitive. 

Un biais cognitif nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont en occultant souvent une réflexion rationnelle. En bref, nos jugements sont parfois erronés sans que nous en soyons conscients. 

Dans cet article nous vous présentons les 6 principaux biais cognitifs que l’on retrouve en recrutement et on vous donne des tips pour s’en détacher. 

Pourquoi sommes-nous biaisés ?

Bien que les biais cognitifs biaisent notre perception de la réalité, ils sont innés et sont un réel levier d’actions pour traiter l’information et pouvoir prendre des décisions rapidement à moindre effort. En effet, ils nous permettent, dans ces moments où la réflexion est trop restreinte, de prendre des décisions rapides et intuitives. 

En clair, face à la densité d’information, nous faisons face à un déficit de sens que nous cherchons à combler. Pour nous aider à créer du sens à partir de morceaux d’information qui nous parviennent, notre cerveau doit combler les trous et assembler le tout. Ceci nous permet de créer notre propre vision du monde. Cependant, c’est ainsi que le cerveau humain prend des raccourcis et nous conduit à des erreurs de perception et d’évaluation. 

Les biais cognitifs dans le recrutement

Dans le métier de recruteur, les informations à traiter sont tellement nombreuses que notre cerveau prend là aussi des libertés : il fait des raccourcis, conserve certaines informations et en oublie d’autres. Sitôt celles-ci réceptionnées, un certain nombre de mécanismes inconscients se mettent en marche. 

Recruteurs.euses, faites-vous toujours du recrutement objectif ? Vous reconnaissez-vous dans certaines de ces situations ?

“J’ai bien accroché avec cette candidate, elle fait de la musique comme moi” ou encore “Ouah ! tu as vu, il a fait trois fois le tour du monde, il doit être super adaptable ».  

Vous reconnaissez-vous dans certaines de ces situations ?

Malheureusement votre inconscient vous joue des tours quand il s’agit de prendre des décisions. Eh oui, les biais cognitifs viennent aussi perturber votre jugement si précieux pour le recrutement. 

Les biais qui jouent des tours à notre mémoire

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Effet de récence : tendance à se rappeler plus facilement des dernières informations reçues par notre cerveau.Ce biais peut vous conduire à préférer le dernier candidat rencontré en entretien. Tout simplement parce que vos échanges sont plus récents dans votre mémoire.  Remplissez pour chaque entretien une même grille d’évaluation, et relisez-la à froid afin d’évitez toute décision hâtive.
Effet de primauté : la première impression compte beaucoup dans l’impression générale que nous donnera une personne. Nous avons tendance à mettre de côté les informations qui ne vont pas dans le sens de cette impression.Ainsi, vous aurez tendance à considérer qu’un candidat qui arrive en retard est peu sérieux, ou qu’un candidat qui a une bonne poignée de main est une personne qui a confiance en elle. Prenez conscience de votre première impression. Mettez en suspens ce premier jugement. Enfin, prenez du recul et attendez d’avoir une vue globale à l’issue du recrutement.   

Les biais qui confortent nos croyances

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Biais de projection: Nous avons tendance à favoriser les individus qui pensent et raisonnent comme nous.  En tant que recruteur, vous risquez de favoriser les candidats avec lesquels vous avez des points communs, que ce soient des valeurs, des hobbies, une école de formation…   Posez-vous la question suivante: est-ce que ces éléments communs sont pertinents par rapport au poste?   
Biais de stéréotype: Nous avons tendance à généraliser, à faire des raccourcis ce qui nous amène à mettre des situations, des personnes dans des boîtes.Ce biais vous conduit à considérer un candidat pratiquant un sport d’équipe comme nécessairement sociable et peu enclin à travailler seul. Ou enfin à considérer un candidat sortant d’HEC comme plus sérieux qu’un candidat sortant de la Fac.   questionner les croyances et les idées reçues derrière les étiquettes, en considérant chaque cas dans sa spécificité. Le risque étant d’avoir des jugements hâtifs et de passer à côté d’un bon candidat.   

Les biais qui guident nos jugements

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Biais de cadrage: Nous avons tendance à avoir une idée précise du candidat idéal et cela se ressent dans les questions d’entretien qui orientent le candidat dans ses réponses.Vous allez poser des questions qui permettront au candidat d’orienter sa réponse, telle que « Diriez-vous que vous êtes quelqu’un de créatif ? ». Le risque est que le candidat ne se montre pas sous son vrai jour.   Préparez vos questions en avance et relisez-les plusieurs fois pour vous assurez qu’elles ne suggèrent pas de réponse au candidat. Privilégiez des questions ouvertes, qui vont permettre au candidat d’argumenter, plutôt que des questions fermées. 
Biais de contraste: Nous avons une tendance naturelle à vouloir toujours tout comparer car la comparaison est souvent à la base de nos jugements. Vous avez l’impression d’avoir trouvé le candidat idéal en sortant d’un entretien? L’effet de contraste est celui qui vous fera aller aux entretiens suivants avec beaucoup moins d’enthousiasme.Prenez du recul à la fin d’un entretien. Tentez de vous détaché de vos ressentis subjectifs lors de la rédaction de votre compte-rendu. Enfin, n’idéalisez jamais un candidat car cela vous fera passer à côté d’autres talents.

En conclusion

Entreprises, vous souhaitez externaliser vos recrutements pour plus d’objectivité ?

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Retrouvez notre article sur comment adopter le management collaboratif 👉 https://meetyourjob.com/pourquoi-comment-adopter-le-management-participatif/

Vous devez recruter de nouveaux collaborateurs et vous vous demandez si vous devez plutôt faire appel à un Chasseur de Tête ou à un Recruteur ?

Vous recrutez de nouveaux talents pour intégrer votre team et vous vous questionnez sur la meilleure méthode à adopter : Chasse de tête VS Recrutement ?

« Ce n’est pas la même chose ? » demandez-vous 🤔

Et non, entre un Recruteur et un Chasseur de tête il y a un monde de différence. Un métier pour un besoin spécifique !

Le choix se fera bien évidemment en fonction des talents que vous recherchez pour votre team.

Pour bien faire ce choix, il faut avant tout bien connaître les différences entre ces deux métiers.

D’ailleurs, si vous avez prévu de recruter cette année, 👉 on peut vous prêter main forte !

 

LES DIFFÉRENTS BESOINS POUR L’ENTREPRISE

 Le chasseur de tête et le recruteur se distinguent principalement par les profils recherchés.

L’une des plus grande différence entre un chasseur de tête et un recruteur est qu’ils ne recherchent pas les mêmes types de profils.

 

CHASSEUR DE TÊTE : RECRUTEMENT CIBLÉ

 

Nos chasseurs de têtes sont de véritables Sherlock Holmes du recrutement🔎.

Leur mission : Dénicher les meilleurs profils du marché en déployant tous les moyens possibles et inimaginables ! Et oui, car la meilleure façon de trouver des profils rares reste tout de même d’aller les chasser.

Les candidats potentiels étant rares, nous sommes à la recherche perpétuelle de talents.

Entendons-nous bien, un Recruteur est également à l’affût de profils hautement qualifiés MAIS le Chasseur de Tête est, quant à lui, spécialisé dans la recherche de profils pénuriques et/ou de haut niveau (Top/Middle management). La voilà la véritable différence !

« Mais comment fait-il pour dénicher la perle rare du pacifique ? » et bien c’est grâce à des outils performants (Growth Hacking, Algorithmes, Messages d’accroches hyper personnalisés…), d’un réseau personnel et professionnel extrêmement large ainsi qu’une approche directe parfaitement ciblée, aussi bien au niveau des soft skills que des hard skills.

Le Chasseur de tête est équipé d’outils et d’un réseau qui vont lui permettre de vous trouver la perle rare. Ainsi, il se concentre sur l’approche directe de profil correspondant parfaitement à votre recherche, aussi bien au niveau des soft skills que des hard skills.

 

Vous êtes à la recherche d’une pépite Top et Middle Management ? 🌟 On vous écoute

RECRUTEUR : AUGMENTEZ LE VOLUME !!!!

Le recrutement quant à lui est plus versatile et volumique. Vous gardez le contrôle de votre recherche tout en vous libérant de vos tâches inutiles. Nos recruteurs affichent vos offres d’emploi sur nos jobboards, les boostent sur les réseaux sociaux afin de « targetter » un maximum de candidats et mettre en avant votre marque employeur, les trient, les interviewent et les sélectionnent afin de vous envoyer les meilleurs talents.

En d’autres termes : les candidats viennent à nous en postulant directement à nos offres, nous n’allons pas les chercher contrairement à une chasse. En effet, ce sont généralement des profils variés (en matière de compétences et de niveau d’expertise), à l’écoute des opportunités et que l’on retrouve plus facilement sur le marché de l’emploi.

De plus, dans un service de recrutement nous recherchons souvent des profils variés en matière de compétences et de niveau d’expertise, et des profils que l’on retrouve plus facilement sur le marché de l’emploi.

UNE MÉTHODOLOGIE BIEN DIFFÉRENTE

À l’inverse d’un recrutement où c’est le candidat qui contacte le recruteur suite à l’annonce d’une offre, nos Chasseur de Tête vont vers le candidat et l’encouragent à postuler pour l’offre. C’est une démarche plus directe où le Chasseur de Tête ira dans la majorité des cas « débaucher » des pépites déjà en poste.

Le Chasseur de Tête chez MeetYourJob se charge par la suite d’analyser les profils, de contacter les candidats, de faire un entretien de pré-qualification, puis une discussion plus approfondie à travers notre méthode STAR et termine par un compte-rendu détaillé retraçant l’histoire du profil short listé qu’il enverra à l’entreprise qui recrute.

Le recruteur, pour sa part, sera le plus souvent appelé pour des recrutements plus volumiques ou réguliers, sur des profils qu’il est possible de trouver par des moyens conventionnels tels que les jobboards, les réseaux sociaux et diffusion d’offre. Il se charge de disperser les offres de l’entreprise à travers son réseau et analyse ensuite les candidatures reçues pour en sélectionner quelques-unes pour le client.

 

Voici un tableau récapitulatif pour schématiser la démarche de ces deux métiers chez MeetYourJob :

 

   

CHASSEUR

 

RECRUTEUR

RECOLTE DU BESOIN DU CLIENTS
APPROCHE DIRECTE – CHASSE DE PROFILS RARES ✖︎ 
PUBLICATION DES OFFRES D’EMPLOIS SUR LES RÉSEAUX
BOOSTING SUR LES RÉSEAUX
ENTRETIEN DE PREQUALIFICATION
ENTRETIEN APPROFONDI PSYCHO-SOCIOLOGIQUE ✖︎ 
SELECTION DES MEILLEURS CANDIDATS
PROFILS RARES ET DE HAUT NIVEAU ✖︎ 
RECRUTEMENT TOP & MIDDLE MANAGEMENT ✖︎ 
RECRUTEMENT SPECIFIQUE ET PONCTUEL ✖︎ 
MISE EN AVANT DE LA MARQUE EMPLOYEUR
RECRUTEMENT EN VOLUME ET RECURRENT ✖︎ 
RECRUTEMENT URGENT
COMPTE RENDU DÉTAILLÉ ✖︎ 

 

Envie de découvrir nos méthodes qui cartonnent ? 👉 C’est par ici !! 

 

Envie de faire appel à nos Chasseurs de Têtes ? 👉 Margaux et Julie sont prêtes à échanger !

 

Besoins de recruter ? 👉 Dites nous tout sur les pépites que vous recherchez ! 

 

Article rédigé par Béatrice – Community Builder and Customer Care Officer chez MeetYourJob & CareerHub.mu 

Qui n’a jamais rêvé de pouvoir bosser chez soi lorsque son travail peut lui permettre ?

Imaginez un instant le fait de pouvoir accomplir toutes votre To Do, en quelques heures, plus rapidement et avec plus d’efficacité.

À la fin de votre journée, vous êtes satisfait de votre efficacité et du travail achevé et vous ne vous en voulez pas pour « les choses que vous n’avez pas réussi à faire ». Bref, c’est ce qu’on appelle être productif.

Mais alors, quelles sont les règles d’or pour optimiser son temps lorsque l’on travaille à la maison ?

 

Nous allons aborder 4 astuces qui vous aideront à accroître votre productivité tous les jours, mais avant, nous allons vous faire un petit rappel de deux règles maîtresses de la productivité :

  • La loi de Pareto qui stipule que « 80 % des résultats proviennent de 20 % des efforts ».
  • La loi de Parkinson qui profère « Une tâche nous prendra que la durée qu’on a décidé de lui attribuer ».

 

1. COMMENCEZ PAR DÉFINIR VOS OBJECTIFS 🤓

 

Prenez le temps, chaque dimanche soir de créer une liste de « goals » pour la semaine. Cette liste peut être en lien avec certaines choses que vous souhaitez atteindre dans votre vie professionnelle ou elle peut aussi être un objectif qui se rapporte plus à votre développement personnel.

 

Faites une liste de minimum 3 points à réaliser dès lundi matin et n’oubliez pas de vous auto-évaluer à chaque fin de semaine. S’auto-évaluer vous autorisera à vous remettre en question et observer si les moyens utilisés pour arriver à l’objectif fixé fonctionnent.

 

Petit conseil, ne soyez pas trop laxiste ou trop dur envers vous-même si votre objectif fixé n’a pas été réalisé. Restez focus et persévérez jusqu’à ce que votre but soit atteint même si cela prend plus de temps. N’hésitez pas à partager vos objectifs et pourquoi pas demander de l’aide à votre entourage perso et pro.

  • Pour écrire vos objectifs, vous pouvez adopter la méthode classique, c’est-à-dire papier/carnet/agenda (et stylo bien-sûr). Laissez place à votre créativité et rajoutez des couleurs sur votre fiche que vous allez garder avec vous pour la journée.

 

 

  • Des applis tels que Todoist/Evernote/Onenote peuvent aussi vous plaire si vous préférez votre smartphone ou votre tablette. (Ou si vous n’avez plus de stylo).

 

2. TROUVEZ LE TEMPS DE PRENDRE SOIN DE VOUS 🌞

 

Avec le quotidien professionnel, nous oublions parfois de prendre soin de nous ; horaires de repas décalés,  journée à courir partout, essayant de tout faire avant de vous réveiller et de tout recommencer.

 

Prendre soin de soi, c’est rajouter un peu de « moi » dans sa journée professionnelle. Essayez de favoriser la relation que vous avez avec vous-même. Donnez à votre être tout ce dont vous avez besoin pour être plus productif.

 

Voici quelques petites suggestions à mettre en pratique tous les jours afin d’augmenter votre productivité journalière :

  • Démarrez votre journée tôt. La productivité c’est comme la confiance, ça se gagne ! Les lèves- tôt ont tendance à être plus productifs pour diverses raisons : avoir plus de temps pour se concentrer sur des tâches importantes et prendre de meilleures décisions en pensant plus clairement. Le cerveau est plus alerte le matin. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt n’est-ce pas ?

 

  • Faîtes des étirements le matin au réveil pour réveiller votre corps en douceur et stimuler votre circulation sanguine. Cela vous aidera aussi à réduire le stress et à booster votre énergie pour la journée.

 

  • Prenez le temps de manger un petit déjeuné sain pour vous donner les nutriments nécessaires pour attaquer de pied ferme votre journée de travail.

 

  • Lisez des livres sur le développement personnel qui vous encourageront à recadrer vos objectifs et avoir un état d’esprit plus positif.

 

  • Méditez : La méditation est une méthode simple et efficace qui peut vous aider à dynamiser votre efficience. Si vous êtes complètement détendu, votre esprit fonctionnera avec plus d’efficacité. Cela vous permettra de booster votre mémoire, améliorer votre créativité et de bien gérer votre stress.

 

  • Travaillez votre positivité : Un état d’esprit positif peut avoir un impact profond sur la qualité de votre vie. Ne vous laissez pas engloutir par la négativité des situations actuelles. Si vous avez besoin d’être plus productif, assurez-vous d’apporter une attitude positive.

 

👉 Pour réussir à mieux prendre soin de vous : Essayez nos bons plans ! 

 

  • Utiliser des applis tels que FITON pour vous aider à faire votre sport tous les jours et à suivre votre progression.

 

  • Si vous voulez essayer la méditation, nous vous conseillons l’application Petit BamBou où vous aurez le choix entre la méditation libre et la méditation guidée.

 

  • Si vous aimez la lecture, nous vous recommandons « The Power of Your Subconscious Mind » du Dr.Joseph Murphy qui vous aidera dans votre méditation et à développer un état d’esprit positif. Le livre est disponible en pré-commande chez tous les libraires.

 

  • N’hésitez pas à surfer sur YouTube ou Marmiton pour trouver des recettes délicieuses pour vos repas. En travaillant à la maison, moins de risque de manger à l’extérieur. C’est donc une belle occasion pour revoir vos habitudes alimentaires et vous faire plaisir en cuisine.

 

Alors vous vous sentez déjà mieux rien que d’y pensez ?

 

3. CRÉEZ VOTRE ESPACE DE TRAVAIL COSY 👩‍💻👨‍💻

 

Choisissez une pièce de votre maison qui soit bien ventilée, spacieuse et lumineuse où vous pouvez être le plus concentré. Évitez de travailler dans le lit ou dans le canapé. (On sait que c’est tentant mais faites l’effort, vous culpabiliserez moins en fin d’aprèm).

 

Voici quelques conseils pour optimiser votre ambiance de travail à la maison :

 

  • Orientez votre bureau afin qu’il bénéficie d’une belle luminosité. Pas de lumière directe et évitez les pièces sombres.

 

  • Choisissez des meubles fonctionnels et pratiques qui sont adaptés à votre travail. (Le canapé ne compte toujours pas, sauf pendant votre pause).

 

  • Mettez une petite musique de fond qui vous aidera à vous concentrer ou à l’inverse optez pour des boules-quies si votre environnement est bruyant.

 

  • Poursuivez les rituels du bureau par exemple la réunion du matin qui peut se faire en appel vidéo, dites bonjour à vos collaborateurs par vos applications de messageries.

 

Des applications comme WhatsApp sont souvent utilisées pour communiquer mais vous pouvez aussi télécharger des outils comme Slack, un outil de messagerie instantané qui vous permet de créer des conversations par rapport à chaque projet que vous gérez ou de discuter en direct avec vos collègues.

 

Surtout, à la fin de la journée, n’oubliez pas de ranger votre espace de travail comme vous le feriez au bureau. Consultez Pinterest afin de trouver des idées de déco sympas pour votre espace de travail. Avoir un beau bureau avec une belle lumière vous motivera à travailler.

  

4. LA MÉTHODE POMODORO ⏲

Le concept de cette méthode est simple : Accomplir une tâche rapidement, efficacement et de manière qualitative. Le but c’est que vous restiez concentrer sur une seule tâche à 100 % pendant 25 minutes. Voici comment vous allez y arriver :

  • Mettez un minuteur de 25 minutes et travaillez non-stop.
  • Au bout de ces 25 minutes, accordez-vous 5 minutes de pause.
  • Repartez sur 25 minutes de travail.
  • Faites plusieurs cycles et prenez des pauses de 5 minutes à la fin de chaque cycle.

 

C’est une méthode simple mais efficace qui peut vous aider sur les missions où vous avez tendance à procrastiner, surtout en étant en télétravail. En adoptant cette méthode, vous serez plus productif et compétent sur certaines missions qui demandent beaucoup de concentration. Pour ajouter un côté fun, pourquoi ne pas vous motiver avec un carré de chocolat ou un Carambar à la fin de chaque cycle. (Oui on est gourmand).

 

N’oubliez pas la règle des deux minutes : Si une action vous prend moins de 2 minutes à faire, traitez la dans l’immédiat.

 

Si vous utilisez Google Chrome, vous pouvez télécharger l’extension Mariana qui est un minuteur spécial Pomodoro ou mettre un chrono sur votre téléphone.

 

Vous connaissez maintenant les bons plans pour pouvoir travailler de manière détendue et efficace chez vous ! Si vous arrivez à vous organiser ainsi pendant quelques heures par jour, vous pourrez rapidement accomplir beaucoup plus que lorsque vous étiez au bureau. La culture du télétravail, ça s’apprend et ça s’entraîne. N’oubliez pas de consulter notre « Cheat Sheet » mit en place pour réaliser un télétravail efficace !

 

Alors, souriez et dites « productivité ». Let’s goooo ! 🔥

 

Article rédigée par Béatrice – Community Builder and Customer Care Officer chez MeetYourJob & CareerHub.mu 

Chez MYJ, on a toujours cru au pouvoir du Inbound Recruitment et à la puissance du web et des réseaux sociaux pour mener des campagnes de recrutement efficaces, mais avec les UTM, on en a maintenant la certitude !

On a toujours su que nos actions online (mailings, réseaux sociaux, blog…) nous permettaient d’apporter du trafic notre site web et donner de la visibilités aux fiches de postes de nos clients, mais on n’a jamais vraiment su le nombre exact, ou encore pu déterminer quelle action en particulier était plus efficace qu’une autre.

Depuis la fin du confinement, tous les jeudis, c’est formation Koudetat au bureau (ouai on kiffe !).

Jeudi formation

Photo equipe

Le mois dernier, on a appris quelque chose qui a littéralement changé notre manière d’appréhender et analyser nos actions marketing online : les UTM.

Derrière cet acronyme barbare se cache en réalité une méthode ultra-simple et efficace pour analyser votre ROI sur n’importe quelle action d’acquisition de trafic !

Un exemple concret vous parlera davantage :

La semaine dernière, on a lancé une campagne promotionnelle sur notre service de headhunting, la promo « Pay What You Want ». Et si vous avez manqué la super vidéo de Margaux, je vous la remets, parce qu’elle est vraiment trop cool 😉

https://www.youtube.com/watch?v=ZVJY6TT4Nr8

Bref, pour cette promo, on a décidé de mener plusieurs actions de com :

  • Mailing à notre portfolio de clients
  • Promotions individuelles sur nos comptes LinkedIn perso  (parce qu’on éclate notre portée à chaque nouveau post, et d’ailleurs on vous concocte une formation à ce sujet qui sortira bientôt !)
  • Approches directes par mail ou LinkedIn PM à nos prospects

Chacune de ses actions ramenaient l’utilisateur à un typeform nous permettant de récolter la donnée du client et son besoin : lien typeform.

Sauf qu’à la différence de nos campagnes précédentes, cette fois-ci, on a vraiment voulu savoir quelle action était la plus efficace pour emmener du trafic (des utilisateurs) vers ce typeform.

C’est là que les paramètres UTM entrent en jeu ! Et voici les étapes à suivre :

 

Comment ajouter un site sur google Analytics

Analytic MYJ

1- Assurez-vous que la page web que vous souhaitez promouvoir est bien trackée dans votre google analytics. Si elle ne l’est pas, il vous suffit d’ajouter une propriété dans l’espace admin.

2- Allez sur UTM Maker pour obtenir un UTM link à partir de l’URL que vous souhaitez promouvoir. 

Je vous conseille de faire un UTM différent pour chaque personne et action menée. Par exemple, un UTM pour votre post linkedIn, un autre pour celui de votre collègue, et encore un autre pour votre mailing.

 

3- Recensez vos UTM dans un tableau de suivi pour pas vous perdre. Nous on utilise Monday mais vous pouvez utiliser excel.

Veillez à utiliser une nomenclature qui vous correspond et que toutes les personnes de votre équipe menant des actions de com online s’engageront à suivre.
Nous par exemple, on crée des clusters de campagnes, et on nomme chaque action selon la nomenclature suivante :

CAMPAIGN NAME_Medium_Source_Keyword

Le medium correspond à notre canal d’acquisition pour l’action menée : mailing, organic social media, paid social media, blog, banner and display…
La source, elle correspond au nom de l’outil utilisé : Facebook, LinkedIn, Agile CRM, Google…
Le keyword, est plus personnel à la personne qui lance l’action et il permettra de reconnaitre la campagne sur google analytics.

Finalement, notre tableau de suivi donne ça :

UTM tracking table

Monday MeetYourJob

Cette étape de recensement et appellation est essentielle, car c’est comme cela que vous vous retrouverez dans google analytics.

 

4- Enfin, allez sur « toutes les campagnes » dans google analytics, tapez le nom de votre campagne, et retrouvez toutes vos actions avec leurs résultats.

Si on garde notre exemple, comme vous le voyez, on retrouve les mêmes titres que dans notre tableau de recensement, et à côté combien d’utilisateurs chaque action a apporté !

analyse campagnes PWYW

Analytics MeetYourJob

 

Chez nous, un bravo à Margaux qui mène un super travail de prospection ! 👏

signe embauche freelancer

Il y a une multitude de raisons pour lesquelles opter pour un freelancer à la place d’un employé.  Elles peuvent être stratégiques, managériales ou économiques.

La crise du COVID19 a rendu le climat particulièrement favorable à l’embauche temporaire de travailleurs indépendants, soulignant ainsi la difficulté qu’ont les entreprises à gérer une facture salariale élevée. De la même manière que la crise financière de 2008 a favorisé l’émergence de la « gig economy », il n’y a pas de doutes que la crise du Covid19 va résulter en l’émergence des postes à temps partiel et du Freelancing à l’Île Maurice.

Nous avons sélectionné les 5 raisons pour lesquelles vous devriez embaucher un freelancer :

1- La Flexibilité et la réactivité, les maîtres-mots du freelancer.

L’inhérente flexibilité d’un freelancer le classe à l’avant-plan des solutions d’embauche.

C’est un moyen rentable de remplacer des employés qui sont en congés paternité, maternité ou en vacances tout simplement. Les Freelancers peuvent également vous aider à faire face aux périodes de forte activité (un.e nouveau.elle vendeur.se dans votre point de vente lors des fêtes de fin d’année par exemple) ou remplir un poste à temps partiel.

Plus encore, une fois que votre besoin de ressources aura diminué, vous n’aurez pas à aller à travers toutes les formalités financières et administratives résultant d’une décision de se séparer de certains membres de votre équipe. Un freelancer est embauché pour une période définie ou pour un projet, sa mission prend fin lorsque le livrable sur lequel l’arrangement était porté est délivré.

2 – Avoir un personnel ultra productif

A condition que le freelancer travaille pour une période de temps et une mission précise, il sera totalement dédié au projet. En effet, un des principaux objectif d’un freelancer est de construire une base client fidèle pour s’assurer de futures missions. C’est pourquoi, professionnalisme, efficacité, réactivité et flexibilité sont ses maîtres-mots.

productivité-livre-freelance

3 – Réduire le coût salarial global en optant pour un freelancer

Le coût d’un freelancer peut sembler élevé au premier coup d’œil. Cependant, lorsque vous le comparez au coût d’un salarié, vous vous rendrez compte du contraire. En effet, un freelancer n’est présent que pour un projet bien spécifique et par conséquent pour une durée limitée. Tandis qu’engager un employé mène obligatoirement à un engagement sur le plus long terme. Si l’on compare les coûts que cela représente pour une société basée à l’Île Maurice, les services d’un freelancer sont beaucoup moins onéreux. En effet, un freelancer est là pour une période de temps plus courte et l’entreprise n’a pas à payer les frais et taxes provenant de l’embauche d’un salarié (NPF, NPS, Levy, Assurance, congés, bureaux, équipements, etc.)

4- Une expertise technique précieuse et une vision externe

En recrutant un freelancer, les entreprises s’offrent les bénéfices d’une expertise et de compétences avancées dans un domaine spécifique.Les Freelancers d’aujourd’hui sont présents dans tous les domaines, a tout niveau d’expérience. A l’heure actuelle, les entreprises peuvent engager un spécialiste informatique, des créatifs et même des cadres supérieurs pour un contrat freelance à court ou moyen terme.

livre avec des schémas pour démontrer l'expertise des freelancer

5 – Capacité de « tester » de futurs talents

Vous avez un besoin urgent mais vous n’êtes pas tout à fait convaincu par le candidat ? Un profil vous attire mais vous n’avez pas de besoin particulier et vous voulez connaître le retour sur investissement avant de procéder à une embauche définitive ? Offrir un contrat de freelance pour débuter est un excellent moyen de vous assurer de ses compétences et de sa capacité d’adaptation à votre environnement avant de lui offrir un contrat sur le long-terme.

 

Pour autant, embaucher des freelancers n’est pas le remède à tout. Il y a des fois où avoir un employé est la meilleure solution. Les travailleurs indépendants peuvent mettre plus de temps à s’adapter à vos procédures et ils ne possèdent peut être pas le même niveau de loyauté qu’un salarié.

Ainsi, pour chaque position nécessitant d’être remplie au sein de votre entreprise, nous vous conseillons de vous poser les questions suivantes pour définir la collaboration appropriée :

Si NON,  considérez plutôt un.e Si OUI, considérez plutôt un.e
1.     Est-ce que vos ressources internes peuvent compléter le projet en temps voulu sans sacrifier d’autres missions ? FREELANCER EMPLOYÉ
2.     Est-ce un besoin à long-terme ? FREELANCER EMPLOYÉ
3.     Est-ce que le job demande des compétences spécifiques ? FREELANCER EMPLOYÉ
4.     Est-ce que le travailleur doit performer cette tâche spécifique à plein temps et de façon exclusive ? FREELANCER EMPLOYÉ
5.     Est-ce que le travailleur peut décider quand et où la mission peut être accomplie ? EMPLOYÉ FREELANCER

Nos équipes chez CareerHub et MeetYourJob se tiennent à votre entière disposition pour vous aider dans votre choix.

Trouver et travailler avec un freelancer c’est un peu le même process que recruter ton expert comptable : tu galères à trouver ta pépite et encore pire, tu ne sais pas lequel choisir, tu comprends pas tout ce qu’il dit mais tu dois quand même le séduire et le faire adhérer à ta structure et ta vision, et surtout après l’avoir recruter (youhou) le processus ne s’arrête pas là : il y a toute une phase d’onboarding pour fidéliser ta nouvelle recrue. 

Et bien pour un freelancer qui va travailler avec toi c’est le même enjeu ! Bien sûr, on ne parle pas d’onboarding, ni de relation à bâtir sur le long terme (quoique si besoin récurrent ?) mais bien des clés pour travailler avec lui avec succès et que la collaboration soit agréable ! 

Tu vas donc te poser ces questions : notre management est-il le même entre un collaborateur full time et un freelance ? Comment faire pour collaborer avec succès avec un expert extérieur et ponctuel à mon entreprise ? Que dois-je dire et ne pas dire ? En bref, comment ca marche et bien ? 

Bonne nouvelle : ce sont les questions à 1 millions de dollars, mais nous avons la solution à t’apporter et encore mieux on va te détailler tout ça en 8 étapes clés : 

1 – Prendre le temps : faire découvrir ton univers et engager ton freelancer

Une fois que tu as eu un coup de coeur sur le profil d’un freelancer, sa personnalité et son expertise il est important de prendre le temps de toi aussi lui expliquer qui tu es ! N’oublie pas que c’est à travers toi qu’il va pouvoir comprendre ton univers, ton entreprise, ton fonctionnement, et surtout ta vision. C’est capital de lui raconter ton histoire d’entreprise pour qu’il puisse s’aligner dans sa future mission à tes aspirations et être en phase, comme si c’était un collaborateur de plus de 2 ans qui a réalisé le projet. Crois nous, ce ne sera pas du temps perdu ! 😉 

2 – Avoir un brief clair, percutant, et cohérent 

Après lui avoir raconté ton histoire : rentre dans le vif du sujet et pourquoi tu as besoin de lui ! Un brief clair et détaillé est primordial pour que le freelancer puisse t’accompagner et répondre à ton besoin. Plus il y a d’informations : mieux c’est ! Comme on dit, il vaut mieux trop que pas assez. Ce brief a plusieurs importances : permet de bien remettre à plat ton souhait, savoir quelles sont tes points bloquants, les documents / outils que tu as déjà et ce dont tu as besoin, émettre tes idées et tes souhaits, définir le scop de la mission du freelancer. 

N’hésite pas à fournir aussi des documents clés de compréhension pour le freelancer en fonction de ton besoin. Si par exemple tu recherches un développeur web n’hésite pas à lui transmettre tes maquettes et ton cahier des charges pour qu’il puisse le challenger et bien cerner ton souhait. 

Et oui… on ne construit pas son potager sans planter des graines, et bien une collaboration freelance c’est la même chose ! 

3 – L’écouter : c’est lui l’expert ! 

Oui oui… l’écoute et le partage c’est important ! Il va clairement te poser beaucoup de question pour être sur la même longueur d’onde que toi et challenger tes idées pour voir plus loin et t’apporter de nouvelles pistes de réflexion. Tu fais appel à lui pour une expertise et un renfort, alors c’est primordial de savoir dire non mais aussi d’écouter les feedbacks constructifs : c’est comme ca que tu vas décoller et faire de la croissance. 

petit garçon freelancer qui travaille

4 – Comprendre la méthode de travail du freelancer

Nota bene : un freelancer a sa propre organisation et méthodologie. En quête de liberté et flexibilité professionnelle il va s’organiser au mieux pour respecter les deadlines mais il ne faut pas paniquer si tu reçois un mail de lui à 4h du matin et non 10h. 

Beaucoup travail sous la méthodologie Agile pour te tenir au courant des avancés du projet. A vous d’estimer ensemble comment vous souhaitez travailler sans lui imposer un rythme qui n’est pas le sien : ça ne matchera pas ! 

5 – S’accorder sur un devis et s’y tenir 

Le devis constitue par écrit votre accord et champ d’action. Il vaut mieux qu’il soit bien fourni reprenant point par point le plan d’action du freelancer pour réaliser ton projet / mission. Une fois qu’il est validé il ne faudra pas revenir en arrière ! Si à la fin du travail effectué et le livrable fourni tu as d’autres missions à lui confier à ce moment la vous ferez ensemble un nouveau devis ! En bref : il ne faut pas tirer sur la corde. Tu travailles de manière ponctuelle avec lui et les missions n’évoluent pas. 

6 – Faire confiance et être flexible 

2 ingrédients d’un cocktail parfait d’une collaboration entreprise / freelancer : 

  • Confiance = se fier à l’expertise d’autrui et croire en lui 
  • Flexibilité = se comporter de manière agile pour atteindre un intérêt commun

personne squattant devant son ordinateur

7 – Bien communiquer et avoir de la visibilité

Pas question de rester sans nouvelles pendant 1 mois pour un beau jour avoir le livrable final dans ta boite mail ! 

Ne pas avoir de visibilité et ne pas communiquer créera automatiquement de la frustration. Un autre ingrédient : la réactivité. Il y a beaucoup d’outils avec lesquels vous pouvez travaillez et voir en un clic les évolutions du projet (Trello, Monday, Slack, Drive…) ce qui te permettra d’être rassuré. A toi de définir avec le freelancer comment tu souhaites avoir de la visibilité sur les avancés ! 

8 – Remercier et récompenser le freelancer

Lorsque votre collaboration est terminée, et que tout le monde est content n’oublie pas de remercier le freelancer. Le réseau c’est précieux ! 

Benef : passer par une plateforme en ligne spécialisée ! 

Ca te permettra d’avoir accès à une communauté de freelance qualifiée et réactive et surtout te débarrasser de toutes la partie administrative et de paiement grâce à notre compte séquestre. 

Une plateforme en ligne spécialisée comme la nôtre, te permet aussi d’avoir un contact privilégié et neutre avec un Account Manager pour bien définir en amont ton besoin et te guider au mieux dans tout ton projet. 

Alors, qu’attends-tu pour te lancer ? 

Si d’ailleurs cette nouvelle méthode de travail ne t’apparait pas comme une évidence, je te conseille de lire notre article : pourquoi travailler avec un freelancer ?

femme freelance travaillant sur son canapé

Devenir freelance c’est un peu comme faire le grand saut les yeux bandés : tu en as vraiment envie mais tu trembles avant de te lancer.

Pourquoi ? Parce que tu as des multitudes de questions qui se posent avant de franchir le cap : tu es en quête de sens et de liberté, tu as décidé d’enfin trouver un équilibre pro/perso mais tu ne sais pas comment faire entre la paperasse administrative, se lancer en full time ou part time jobs, trouver les premiers clients, fixer tes tarifs, gagner en crédibilité et avoir de la visibilité, gérer les finances et la comptabilité de ton statut self-employed, relancer les factures impayées… ca y est on est déjà perdu !

On a la solution pour toi : quoi de mieux que d’être accompagné tout au long de ton aventure par une plateforme freelance online, experte et qui comprend chacune de tes interrogations et tes enjeux ?

1 – Etre accompagné et conseillé

Il est toujours difficile de savoir à qui se confier, de trouver l’information juste, d’être compris et de ne pas se sentir seul en tant qu’individu et professionnel, et c’est encore plus vrai en freelance. La jungle des réseaux sociaux et du monde du business porte bien son nom : on peut vite se sentir comme une fourmis et il est difficile de se démarquer. Rejoindre une plateforme online de freelance va permettre d’accéder à du contenu ciblé accessible en quelques clics, de s’entourer d’expert, et de poser ses questions à des personnes qui sont la pour vous !

2 – Rejoindre une communauté (adieu la solitude)

En plus d’être accompagné à travers la plateforme freelance, MeetYourJob et Careerhub va vous permettre d’intégrer la première communauté de freelance à l’Ile Maurice pour vous partager des tips, favoriser les rencontres entre freelances, partager du contenu adapté à votre coeur d’activité, de vous épauler dans vos déclarations, et d’échanger en toute liberté avec d’autres millenials qui ont les mêmes enjeux et aspirations que vous.

Faire partie de notre communauté va vous permettre de gagner confiance en vous, en votre expertise et de décoller avec l’appui quotidien de notre Community Builder !

femmes-ensemble-souriantes-freelance

3 – Te concentrer uniquement sur ton expertise

Grâce à notre plateforme, tu vas pouvoir te concentrer uniquement sur TON expertise ! Quel bonheur !!! Fini la galère de s’improviser business developer pour trouver des clients, comptable pour gérer ses relances, médiateur pour régler des litiges clients… on s’occupe de tout ! Formidable non ?

4 – Apporteur de business

Se vendre : Certains adorent, d’autres en font des cauchemars. Et puis c’est surtout qu’à la longue c’est dur de devoir se justifier au quotidien. En tant que freelance il est important de saisir les opportunités. Il n’y a pas toujours de suite logique dans les projets / missions réalisées car le coeur du sujet est l’expertise ponctuelle qu’on apporte au client et non une continuité.

On a tous un réseau, qu’on essaye d’entretenir au quotidien, mais après avoir contacter les professionnels, les amis et les grands parents pour décrocher une mission : comment on fait ?

Un des objectifs de la plateforme est de faciliter le funnel d’acquisition de client et de projet, ainsi que la réalisation, la transmission et la validation des projets. Quotidiennement plusieurs projets et missions seront proposées : oui, vous avez bien compris, il s’agit de pouvoir trouver facilement, anticiper et décrocher de nouvelles missions !

5 – Bénéficier d’une double expertise (la tienne et AM)

Une fois que le coup de foudre a eu lieu entre toi et le besoin de l’entreprise, le plus dur reste à venir : définir ton prix et ton devis. Au début les freelances vont avoir tendance à se dévaloriser pour obtenir ses premières missions, mais il ne faut pas ! La plateforme à travers un Account Manager expert, pourra t’accompagner pour établir tes devis, ton prix et ne rien oublier pour que tout soit bien détaillé !

En parallèle, la plateforme conseillera aussi le client sur la valeur monétaire de son besoin et la fourchette de prix généralement pratiqué pour que chacun trouve du sens et de l’équilibre.

6 – Sécurité financière pour un freelance

En tant que véritable tiers de confiance, une des forces de notre plateforme est de séquestrer l’intégralité de la somme de ton devis sur notre compte séquestre en amont du début du projet. Véritable plus value tu es certifié d’obtenir sous 10 jours ouvrés ton argent lorsque le projet est finalisé et validé des deux côtés !

Également en cas de litige, nous serons médiateurs pour ne pas te laisser seul et voir ce qui a été réalisé ou non.

7 – Gagner du temps

Tu l’auras compris, on t’accompagne de A à Z dans les bons comme dans les mauvais moments ! Ca va te faire gagner un temps fou et surtout te concentrer sur ton coeur de métier !

Quand tu décideras d’ouvrir ton laptop depuis chez toi, chez le client, ou lors de ton voyage en Asie ton premier réflexe sera de te connecter à notre plateforme et les outils que nous mettons à ta disposition (oui tu ne rêves pas) et tout sera centralisé ! Facile non ?

sablier-représentatif du temps perdu freelance

8 – Développer ton réseau de freelance

Faire partie de notre communauté et travailler avec notre plateforme te permettra de développer ton réseau et de gagner en visibilité. En plus de tous les projets et missions proposées quotidiennement, ca va te permettre de rencontrer des freelances et digital nomad comme toi, de travailler dans plusieurs secteurs d’activité et de collaborer avec d’autres professionnels qui ont besoin de renfort que tu n’aurais jamais croisé sinon ! Incroyable !

9 – Être libre mais pas seul en freelance

Travailler seul c’est bien, mais rassembler les expertises de chacun pour répondre à un besoin client c’est mieux ! On t’aidera à constituer ta team de rêve !

Stop la solitude : l’humain est au coeur de notre plateforme, hâte de te voir à notre premier meetup !

10 – Partager et découvrir

Les millenials recherchent constamment à découvrir, apprendre, partager et créer des relations saines avec autrui dans l’objectif de grandir en phase avec ses aspirations ! A travers notre communauté et notre plateforme, tu pourras échanger avec des personnes de tout horizon mais qui ont des aspirations communes aux tiennes. Partage, découverte et soutien seront les maîtres mots !

Alors, qu’attends tu pour rejoindre la première communauté de freelance à l’Île Maurice ?

La neurodiversité ça vous parle ? On ne va pas vous mentir, il y a peu nous ne savions pas exactement ce que c’était non plus. La définition de neurodiversité est la suivante : « La neurodiversité est la diversité des cerveaux et des esprits humains. C’est la variation infinie du fonctionnement neuro cognitif au sein de notre espèce. », pas très clair tout ça… Donc en des termes plus simples, la neurodiversité c’est les différences neurologiques au sein de l’être humain qui sont sommes toutes tout à fait normales et nécessaires pour préserver la diversité de l’espèce humaine.

 

Mais alors pourquoi l’aborder dans le contexte de l’entreprise ? D’après le CRHA : «  La neurodiversité est un terme générique regroupant notamment l’autisme, le TDAH, la douance, la dyslexie, la dyscalculie, le syndrome de Gilles de la Tourette, mais également la neurotypicalité (autrement dit, les individus n’ayant pas de condition neurologique les distinguant de la norme). C’est l’idée que, comme dans tout autre environnement stable, les êtres humains sont différents et complémentaires, en l’occurrence par le biais de leurs cerveaux. Par conséquent, afin de préserver l’équilibre, la seule présence de la norme n’est pas souhaitable, ce qui signifie qu’il est préférable de créer un environnement où chacun peut vivre sa différence et en faire bénéficier autrui. »

1 – Quid de la neurodiversité en entreprise ?

Les neurotypiques consistent en l’essentiel de la force de travail aujourd’hui. Cependant, ne pas avoir de mesure adaptives à d’autres types neurologiques empêchent des personnes très compétentes d’accéder au monde de l’entreprise et, par conséquent, d’y apporter leurs savoirs.

En effet, de nombreuses études démontrent que les personnes neuroatypiques démontrent des capacités supérieures à la moyenne dans certains domaines. Par exemple, les personnes atteintes de dyslexie sont bien meilleures que le reste pour discerner et comprendre des cheminement de pensée complexes et arrivent à regarder un problème sous plus d’angles. Ce n’est qu’une qualité parmi tant d’autres qui peuvent être inestimables pour une entreprise.

Cependant, intégrer des personnes neuroatypiques demande un reformatage de la culture d’entreprise ainsi qu’une réévaluation des pratiques de recrutement.

2 – Adapter sa culture d’entreprise

Il n’est pas nécessaire de penser à un réaménagement complet de l’espace de travail, les entreprises peuvent tout à fait adapter leur fonctionnement sans forcément dépenser des fortunes.

Pour le plus souvent il s’agit d’être plus flexible, que ce soit au niveau des horaires de travail ou de son lieu. Plus encore, certaines personnes ne vont pas supporter les stimulations auditives et vont avoir besoin d’un espace plus serein et calme dans lequel travailler ou être constamment avec des écouteurs pour pallier le silence.

Egalement, il est utile de former ses managers pour gérer ces personnes avec le plus d’empathie possible. Faire des conférences de sensibilisation avec les équipes peuvent leurs permettre de savoir comment mieux intégrer leurs nouveaux collègues neuro-atypiques. Il s’agit de ne pas stigmatiser, mais pour cela il faut comprendre au préalable. De nombreuses associations existent et seraient ravies de pouvoir intervenir au seins des entreprises pour sensibiliser les collaborateurs aux besoins et comportements de leurs collègues neuroatypique. Plus encore travailler avec ces individus demande aussi de savoir lâcher prise, de leur laisser leur espace de liberté en toutes circonstances.

3 – Adapter les ressources humaines et techniques de recrutement

Les neuroatypiques sont des êtres humains comme les autres et brandir leur différence mentale haut et fort n’est pas une bonne solution. Respecter leur volonté de ne pas dévoiler leur diagnostique neurologique et adapter l’espace et les collaborateurs autour de ça sera le prochain rôle des ressources humaines.

 

Également, les neuroatypiques sont beaucoup plus soumis à l’anxiété il faut donc réussir à les emmener vers d’autres bords avec beaucoup de douceur. Par exemple, lorsqu’un changement est apporté au lieu de travail ou à l’entreprise en général il est nécessaire d’informer de façon très exhaustive afin de ne pas éveiller l’anxiété. Par ailleurs, penser à tout expliquer est important, la cohérence logique doit être de mise pour être comprise. Chaque action ou décision doit avoir un sens. Cette habitude est aussi bénéfique pour les neurotypiques que neuroatypiques.

Plus encore au niveau du recrutement, il va falloir accepter de le faire de façon non-traditionnelle. Il est certain qu’aujourd’hui, les documents pour postuler peuvent varier (CV, vidéo, etc.), mais pour autant l’entretien retient un format traditionnel. Et cela peut être un réel point bloquant pour des personnes neuroatypiques. Donc, si vous remarquez qu’un de vos talents est neuroatypiques, essayez au maximum de vous adapter à lui et de le rendre fier de sa différence . même si vous ne retenez pas son profil, au moins vous ne serez pas dans sa longue liste d’entretiens ratés et source de démotivation.

 

 

 

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De la plus tendre enfance à l’âge adulte, la reconnaissance est un besoin fondamental de l’Homme. Cette émotion donnée de l’être humain à un autre est en réalité plus importante à notre survie qu’on ne le croit.

Quand on parle de besoin de reconnaissance, tout le monde à en tête la célèbre pyramide de Maslow où la reconnaissance/estime est placée en avant dernier besoin de l’homme après les besoins physiologiques. Cependant, de nombreuses expériences scientifiques pour le moins cruelles ont démontré à quel point ce besoin d’estime était également physiologique.

L’une d’elles est nommée l’expérience interdite. Menée au 16ème siècle par James IV alors roi d’Ecosse. Grand érudit et passionné de langues, il met au point une expérience pour trouver la langue originelle de l’homme. Pour y parvenir, il sélectionne des nouveau-nés orphelins et les placent avec des nourrices sourdes et muettes sur une île isolée. Son but ultime était de découvrir quelle langue parlerait les poupons loin de toute influence extérieure. Cependant, le résultat a été tout autre, les orphelins privés d’amour sont décédés avant même d’être en âge de prononcer un mot.

Ce genre d’expérience a été itérée par de nombreux psychologues et les résultats sont restés les mêmes.

Ce besoin de reconnaissance s’exprime à tous les âges. De l’enfant qui cherche à tous prix à avoir le regard de ses parents sur lui jusqu’à la personne âgée qui cherche le peu de socialisation qui lui est encore offert. Si ce besoin n’est pas assouvis, on se rend compte rapidement du déclin de l’individu. Mais qu’en est-il de ce besoin en entreprise ? La reconnaissance au travail a pris de plus en plus d’importance au fur et à mesure que nous nous sommes rendus compte des résultats extrêmement positifs de cette dernière. Ce n’est pas un phénomène générationnel comme on pourrait le croire avec l’arrivée des Millenials et de la Gen Z sur le marché du travail, mais bien quelque chose qui a toujours été enfouit au cœur même de l’être humain.

1- Les effets positifs

Tout d’abord, la reconnaissance permet un regain extrême de motivation de la part de vos collaborateurs. En effet, nous avons remarqué que lorsque les équipes se sentent écoutées et prises en compte, les collaborateurs deviennent plus proactifs, sont vecteurs d’initiatives et ont une productivité presque décuplée.

En définitive, l’impact de la reconnaissance de la part des managers ou proches est énorme sur l’être humain. Mais comment réussir à mettre en place un processus de reconnaissance au sein de son entreprise ?

2 – Les fondamentaux pour réussir une politique de reconnaissance au sein de son entreprise

Chez MeetYourJob, la reconnaissance est au cœur de la motivation de nos équipes. Tout d’abord nous savons qu’il existe plusieurs formes de reconnaissance, voici celles que nous avons identifié :

  • La reconnaissance liée à l’individu

Avant d’être des employés, les membres de notre équipe sont des personnes et nous les traitons comme tel. Pour nous, le travail n’est qu’une partie de leur apport à l’entreprise. Leur bien être personnel est un atout majeur pour nous. Nous pratiquons l’écoute active, évitons le jugement et restons dans la bienveillance. Nos équipes peuvent aussi bien rencontrer des difficultés professionnelles que personnelles. Dans ce cas, nous cherchons avant tout à ce que l’entreprise soit un espace de sécurité dans lequel ils peuvent parler et être compris

  • La reconnaissance des résultats

Cela peut paraître évident. Pour autant, ce n’est pas toujours respecté. Cette reconnaissance du résultat est aussi important que celle liée à l’individu. Pour cela il est nécessaire de définir des objectifs qui sont clairs et mesurables.

  • La reconnaissance des compétences

Cette dernière reconnaissance complémente toutes les autres. Il est important de motiver ses équipes et leur rappeler qu’elles ne sont pas là par hasard. C’est parce qu’elles possèdent un certain nombres de compétences qui les rendent indispensables.

Une fois ces types de reconnaissances identifiés, voici les différents biais par lesquels vous pouvez passer pour communiquer avec vos équipes.

3- Les possibilités pour transmettre sa reconnaissance à ses équipes

L’avantage de la reconnaissance est que c’est quelque chose de gratuit et il n’est pas nécessaire de créer l’événement du siècle pour la faire transparaître. Voici quelques moyens simples pour la communiquer à vos équipes :

  • Reconnaissance publique : Féliciter la personne/L’équipe devant toute l’entreprise
  • La communication : un lettre, un email, un appel téléphonique
  • L’amélioration des conditions de travail pour transmettre la confiance aussi : accepter un aménagement d’horaires, droit à une journée de congé, etc.
  • Biens et services : un petit cadeau, un service rendu

Maintenant vous savez tout sur l’importance de la reconnaissance au travail ! N’hésitez pas à partager avec nous vos techniques pour transmettre la vôtre à vos collaborateurs.

 

 

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Le monde s’est presque arrêté de tourner ces dernières semaines avec l’éruption soudaine du Covid-19 autour du globe. Si l’économie s’est tournée vers un rythme de croisière beaucoup plus lent, elle n’est pas à l’arrêt pour autant. En effet, de nombreuses entreprises sont en train de se préparer pour l’après confinement. Sur l’hypothèse d’un regain économique à la suite de la quarantaine, les recrutements ne sont pas gelés. Mais qu’est-ce que cette pandémie a changé dans notre façon de recruter ?

1 – Le télé-travail va s’imposer comme une évidence

Une des conséquence directe de la pandémie c’est le développement du télé-travail. Une prise de conscience s’est opérée dans le fait que la présence physique sur un lieu n’est pas forcément nécessaire. D’après cet article de MeetFrank, le nombre de candidatures pour des postes de travail à distance ont doublées depuis janvier 2020.

Cette nouvelle catégorie va prendre une ampleur considérable et il serait préférable pour les entreprises de regarder quels emplois peuvent être rationalisés en termes de présence physique.

Si nous creusons encore la piste, cela pourrait même renforcer les échanges internationaux. Si la présence physique ne devient plus une nécessité, qu’est-ce qui empêche les salariés de travailler pour une entreprise située dans un autre pays depuis chez eux ?

2 – L’entretien 2.0

Malheureusement, il n’est plus possible de conduire d’entretiens physiques durant cette période. Il est donc nécessaire de basculer cette démarche essentiellement au recrutement vers du tout digital. Chez MeetYourJob, nous avons eu l’occasion de faire beaucoup de recrutements à distance. Ainsi voici nos conseils pour réussir son entretien 2.0 haut la main :

  • Se préparer : Pour donner à ce type d’entretien une dimension plus formelle qu’un entretien physique, il est conseillé de se familiariser avec le CV du candidat et la fiche de poste. De même, tenez le candidat informé et indiquez avec qui il passera l’entretien ; il pourra ainsi préparer ses propres questions. Et, bien sûr, veiller à ce que la technicité que vous utilisez fonctionne correctement.
  • Communiquez ouvertement : Tenez le candidat bien informé à chaque étape du processus d’entretien. Sans pouvoir lui réserver un accueil chaleureux en personne, il est particulièrement important de lui montrer que son temps et ses efforts sont appréciés. Mettez lui à son aise.
  • Soyez aussi professionnel et sympathique que possible : Il est important que chaque candidat sache que l’entretien visuel qu’il va passer est tout aussi important et sérieux qu’un entretien en personne.

Une fois l’entretien commencé, souriez. Gardez un contact visuel avec le candidat. Parlez librement. Faites un signe de tête lorsque le candidat parle pour montrer que vous le suivez.

Et prenez des notes. Non seulement sur ce que dit le candidat et sur son comportement, mais aussi sur le déroulement de l’entretien. Prenez note des rappels sur ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.

Bien que vous souhaitiez être aussi professionnel que vous le seriez dans n’importe quel contexte, soyez également compréhensif envers votre candidat si des circonstances imprévisibles interrompent l’entretien. Essayez d’être encore plus empathique et attentionné.

  • Dans des cas particuliers: Si le chien aboie ou si le téléphone sonne, les candidats ne doivent pas être pénalisés. La vie est parfois difficile à contenir, notamment lorsque les conjoints et les partenaires travaillent à la maison et que les enfants ont dû interrompre leur scolarité.
  • Évitez les mauvaises surprises : Soyez respectueux envers le candidat et tenez-vous à l’écart des moments de distraction, y compris votre téléphone portable, comme vous le feriez lors d’un entretien en personne.
  • Valorisez la marque employeur : À chaque étape du processus recrutement, il est important de transmettre un message cohérent sur la mission et les valeurs de votre agence, ainsi que sur la culture du client.
  • Établir au préalable un plan de secours : Il arrive que les choses tournent mal, et l’inattendu peut frapper à tout moment. Assurez-vous donc d’avoir le numéro du candidat afin de pouvoir l’appeler si besoin.

3 – Quel sera donc le futur du recrutement ?

Comme martelé précédemment le digital va devenir une partie intégrante du processus de recrutement au point même de supplanter dans les quelques temps à venir les pratiques jusque-là maintenues.

Dans cet article de Forbes, l’auteur nous donne un aperçu d’à quoi pourrait ressembler le recrutement de demain avec un accent spécifique sur la place que l’IA va prendre. Le plus intéressant est la transformation des traditionnels salons de l’emploi vers une plateforme virtuelle. Pour que ce salon virtuel soit un succès, il faudra rajouter un peu de magie artificielle. Effectivement, un matchmaking AI-powered aura lieu entre les candidats et recruteurs pour permettre à chacun d’avoir la position la plus adaptée d’un côté et le talent le plus adéquat de l’autre. Cela permettra de rationaliser le nombre de CV reçus par les recruteurs mais aussi les recherches de la part des demandeurs d’emploi.

En conclusion, cette période nous éclaire sur les futures pratiques de recrutement. Si pour le moment, les demandeurs d’emplois ainsi que les entreprises restent frileuses quant à l’embauche, il reste néanmoins que l’adaptation à cette situation qui risque de durer doit se faire pour les deux partis.