Vous est-il déjà arrivé d’embellir les choses ? de les empirer ? de vous mentir à vous-même ? ou encore d’attribuer à tort certaines qualités ou défauts ? 

La réponse est très certainement oui… Eh oui, car il nous arrive tous de prendre des décisions irrationnelles, de porter des jugements ou encore de tirer des conclusions sans preuve évidente. Ce phénomène porte un nom : le biais cognitif, concept né dans les années 1970 grâce aux travaux de recherches de Daniel Kahneman et Amos Tversky, docteurs en psychologie et experts de la psychologie cognitive. 

Un biais cognitif nous empêche de voir les choses telles qu’elles sont en occultant souvent une réflexion rationnelle. En bref, nos jugements sont parfois erronés sans que nous en soyons conscients. 

Dans cet article nous vous présentons les 6 principaux biais cognitifs que l’on retrouve en recrutement et on vous donne des tips pour s’en détacher. 

Pourquoi sommes-nous biaisés ?

Bien que les biais cognitifs biaisent notre perception de la réalité, ils sont innés et sont un réel levier d’actions pour traiter l’information et pouvoir prendre des décisions rapidement à moindre effort. En effet, ils nous permettent, dans ces moments où la réflexion est trop restreinte, de prendre des décisions rapides et intuitives. 

En clair, face à la densité d’information, nous faisons face à un déficit de sens que nous cherchons à combler. Pour nous aider à créer du sens à partir de morceaux d’information qui nous parviennent, notre cerveau doit combler les trous et assembler le tout. Ceci nous permet de créer notre propre vision du monde. Cependant, c’est ainsi que le cerveau humain prend des raccourcis et nous conduit à des erreurs de perception et d’évaluation. 

Les biais cognitifs dans le recrutement

Dans le métier de recruteur, les informations à traiter sont tellement nombreuses que notre cerveau prend là aussi des libertés : il fait des raccourcis, conserve certaines informations et en oublie d’autres. Sitôt celles-ci réceptionnées, un certain nombre de mécanismes inconscients se mettent en marche. 

Recruteurs.euses, faites-vous toujours du recrutement objectif ? Vous reconnaissez-vous dans certaines de ces situations ?

“J’ai bien accroché avec cette candidate, elle fait de la musique comme moi” ou encore “Ouah ! tu as vu, il a fait trois fois le tour du monde, il doit être super adaptable ».  

Vous reconnaissez-vous dans certaines de ces situations ?

Malheureusement votre inconscient vous joue des tours quand il s’agit de prendre des décisions. Eh oui, les biais cognitifs viennent aussi perturber votre jugement si précieux pour le recrutement. 

Les biais qui jouent des tours à notre mémoire

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Effet de récence : tendance à se rappeler plus facilement des dernières informations reçues par notre cerveau.Ce biais peut vous conduire à préférer le dernier candidat rencontré en entretien. Tout simplement parce que vos échanges sont plus récents dans votre mémoire.  Remplissez pour chaque entretien une même grille d’évaluation, et relisez-la à froid afin d’évitez toute décision hâtive.
Effet de primauté : la première impression compte beaucoup dans l’impression générale que nous donnera une personne. Nous avons tendance à mettre de côté les informations qui ne vont pas dans le sens de cette impression.Ainsi, vous aurez tendance à considérer qu’un candidat qui arrive en retard est peu sérieux, ou qu’un candidat qui a une bonne poignée de main est une personne qui a confiance en elle. Prenez conscience de votre première impression. Mettez en suspens ce premier jugement. Enfin, prenez du recul et attendez d’avoir une vue globale à l’issue du recrutement.   

Les biais qui confortent nos croyances

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Biais de projection: Nous avons tendance à favoriser les individus qui pensent et raisonnent comme nous.  En tant que recruteur, vous risquez de favoriser les candidats avec lesquels vous avez des points communs, que ce soient des valeurs, des hobbies, une école de formation…   Posez-vous la question suivante: est-ce que ces éléments communs sont pertinents par rapport au poste?   
Biais de stéréotype: Nous avons tendance à généraliser, à faire des raccourcis ce qui nous amène à mettre des situations, des personnes dans des boîtes.Ce biais vous conduit à considérer un candidat pratiquant un sport d’équipe comme nécessairement sociable et peu enclin à travailler seul. Ou enfin à considérer un candidat sortant d’HEC comme plus sérieux qu’un candidat sortant de la Fac.   questionner les croyances et les idées reçues derrière les étiquettes, en considérant chaque cas dans sa spécificité. Le risque étant d’avoir des jugements hâtifs et de passer à côté d’un bon candidat.   

Les biais qui guident nos jugements

Nom du biais cognitif Explication   Solution 
Biais de cadrage: Nous avons tendance à avoir une idée précise du candidat idéal et cela se ressent dans les questions d’entretien qui orientent le candidat dans ses réponses.Vous allez poser des questions qui permettront au candidat d’orienter sa réponse, telle que « Diriez-vous que vous êtes quelqu’un de créatif ? ». Le risque est que le candidat ne se montre pas sous son vrai jour.   Préparez vos questions en avance et relisez-les plusieurs fois pour vous assurez qu’elles ne suggèrent pas de réponse au candidat. Privilégiez des questions ouvertes, qui vont permettre au candidat d’argumenter, plutôt que des questions fermées. 
Biais de contraste: Nous avons une tendance naturelle à vouloir toujours tout comparer car la comparaison est souvent à la base de nos jugements. Vous avez l’impression d’avoir trouvé le candidat idéal en sortant d’un entretien? L’effet de contraste est celui qui vous fera aller aux entretiens suivants avec beaucoup moins d’enthousiasme.Prenez du recul à la fin d’un entretien. Tentez de vous détaché de vos ressentis subjectifs lors de la rédaction de votre compte-rendu. Enfin, n’idéalisez jamais un candidat car cela vous fera passer à côté d’autres talents.

En conclusion

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Retrouvez notre article sur comment adopter le management collaboratif 👉 https://meetyourjob.com/pourquoi-comment-adopter-le-management-participatif/

“Après avoir fait l’tour du monde, Tout c’qu’on veut, c’est être à la maison » Orelsan a vu juste !

Découvrez le témoignage de Julie, Mauricienne expatriée en France pendant 11 ans. De retour à l’Île Maurice, il y a maintenant 2 ans et demi, elle nous raconte son expérience en France et son retour sur son île natale.  

L’équipe MeetYourJob l’a accompagnée et conseillée durant la préparation de son retour, et dans sa recherche d’emploi. Julie se trouve actuellement en poste chez BMS international, poste sur lequel nos équipes l’avaient placée auparavant. 

La Diaspora Mauricienne

Julie a fait partie de la communauté mauricienne qui s’est expatriée à l’étranger. On l’appelle la Diaspora Mauricienne. En effet, en 2019, la taille de la communauté mauricienne, à l’étranger, était estimée entre 200 000 et 500 000 personnes. Les pays comptant le plus grand nombre de membres de la communauté mauricienne sont le Royaume-Uni, la France, l’Australie, le Canada et l’Afrique du Sud. 

Aujourd’hui, la première génération a avoir vécu un retour à l’île maurice est retraitée et beaucoup décident de revenir sur leur île natale, tout en bénéficiant d’un niveau de vie agréable. Cependant, le vrai défi aujourd’hui pour l’Île Maurice est d’attirer les jeunes, de la deuxième et troisième génération, toujours active mais ayant moins d’attache à l’île. En effet, la difficulté est que ces générations sont déjà bien implantées et ont déjà établi de solides réseaux dans leurs pays d’accueil. Cependant, ce sont eux qui peuvent doter Maurice des nouvelles aptitudes et compétences nécessaires au développement de secteurs à forte valeur ajoutée. 

Certaines mesures ont été mises en place comme le Mauritian Diaspora Scheme qui propose une politique durable en attribuant des avantages fiscaux aux membres de la diaspora s’ils reviennent s’installer définitivement à l’Ile Maurice. 

Témoignage de Julie



1 – Comment te définirais-tu ? Quel a été ton parcours jusqu’ici ?

« Je me définirais comme jeune mauricienne étant à la recherche de nouveaux challenges au quotidien. Je suis de nature à toujours me dire : « quand on veut, on peut ! »       

J’ai eu un parcours relativement classique, j’ai fait mon primaire et le collège à l’Ecole Du Nord, puis j’ai continué́ au Lycée des Mascareignes à Moka. Après le bac, j’ai poursuivi avec un BTS Management des Unités Commerciales à la CCI de Maurice. 
A la fin de ma première année, l’idée de partir à l’étranger était de plus en plus présente… envie de découvrir autre chose que ma petite île et surtout, j’étais à la recherche d’indépendance.  

Étant soutenue par mes parents, je n’ai pas poursuivi ma 2ème année de BTS. Avec uniquement ma 1ère année de  BTS de validé, me voilà arrivée en France à Cholet, pour en débuter un autre : BTS Assistante de Manager que j’ai obtenu en 2010. Diplôme en poche et soif d’indépendance, j’intègre enfin le monde du travail, j’ai été embauchée en tant que Collaboratrice d’Agence en Assurance pendant 1 an. 

J’ai ensuite trouvé un emploi plus en adéquation avec mes passions, un poste en tant qu’Assistante Commerciale Export dans un grand groupe dans le prêt à porter. Par la suite, j’ai enchainé les CDD pendant près de 2ans et demi (congé maternité, renfort l’été, arrêt maladie…) au sein de ce groupe. 
Quelques années plus tard, j’ai eu envie de « stabilité » j’ai donc été recrutée au sein du Groupe Royer dans le domaine de la chaussure pour un poste similaire au précédent que j’ai occupé pendant 5ans. »
 

2 – Comment es-tu lié au monde de l’expatriation ?

« J’ai toujours voulu quitter Maurice, vivre une expérience d’expatriation, je me suis dit que je le ferais un jour ou l’autre. Quand vous êtes jeune et mauricienne, vous avez envie  de voyager et de partir à l’aventure. Vous admirez l’étranger…

Depuis très jeune, j’ai eu la chance d’avoir été encouragée par mes parents qui se sont beaucoup sacrifiés et m’ont apporté ce goût de l’aventure, découverte et de l’ouverture au monde ! J’ai donc franchi le pas via le biais de mes études en France. »

3 – Durant ton expérience d’expatriation, envisageais-tu un retour à l’Île Maurice, ton pays natal ?

« Au cours de mes études, je n’avais clairement pas envie de rentrer à Maurice sauf pour les vacances. L’ouverture sur le monde, la richesse des rencontres et les opportunités professionnelles m’ont convaincue de rester. 
En revanche, c’est en “vieillissant”, en ayant fondé une famille et étant loin de la mienne, que j’ai de plus en plus pensé à rentrer. En effet, le manque de sa famille, ses racines se font de plus en plus ressentir à cette étape de votre vie… jusqu’au jour où on franchit le pa
s. »

4 – Pourquoi as-tu décidé de revenir vivre et travailler à l’Île Maurice ?      

« Pour des raisons d’ordre personnel, j’ai voulu être de retour à l’Île Maurice pour être proche de ma famille. J’ai donc pris contact avec Emmanuel (alias Troikar), de l’entreprise MeetYourJob, et je lui ai fait part de mon intention de rentrer à Maurice. 
Il s’est montré très à l’écoute et m’a tout de suite proposé de m’accompagner dans ma recherche d’emploi. 
Puis, à nouveau pour des raisons personnelles, mon projet de revenir vivre à Maurice s’est retardé de plusieurs mois. Emmanuel et moi sommes restés en contact, il a été d’un grand soutien et déterminé à ce que je trouve mon bonheur ici.  

Ce ne fut pas chose facile que de tout quitter et de revenir après 11 ans. La peur de l’aventure bien évidemment bien présente mais ce n’était pas l’inconnu car c’est là où j’avais grandi et où j’ai toute ma famille. J’ai donc pris ma petite tribu pour rentrer « à la Kaz mama » comme on dit à Maurice et j’en suis maintenant plus qu’heureuse, ici proche des miens.


C’est donc grâce à Emmanuel et son équipe – qui ont cru en moi que je suis aujourd’hui de retour. Ils m’ont permis d’intégrer une entreprise en phase avec mes valeurs et un poste dans lequel je m’éclate et j’apprends tous les jours. Je suis entourée de boss EXTRAS et d’une équipe en OR. »

5 – Qu’est-ce qui t’a le plus manqué lors de ton expatriation ? 

« Le soleil… pour être très honnête, l’hiver c’est beau mais l’été m’a tellement manqué, la chaleur de ma petite île. 

Au début, pour vous faire rire, l’hiver je chauffais tellement ma maison que mes amis venaient en débardeur sous leur manteau et à la fin du mois je me retrouvais avec des factures de plus de 400euros, une cata !
La famille m’a beaucoup manqué également. Nous les Mauriciens, nous sommes très famille mais on s’endurcie vite d’être loin de nos proche
s. »

6 – Qu’est-ce qui t’a le plus surpris une fois de retour à l’Île Maurice ? 

« Le coût de la vie, de voir à quel point les choses avaient augmenté. 
Je me rappelle encore toutes les choses qu’on pouvait s’offrir avec un simple billet de 1000RS et aujourd’hui sa valeur… Incroyable ! 


Mais aussi les amis, quand on part, on pense que le temps s’arrête pour les gens ici et que les mêmes personnes qu’on a quittées il y a quelques années seront là à nous attendre à notre retour. Mais ce n’est pas toujours le cas… les gens font leur vie, leur bout de chemin, ce qui est tout à fait normal. Du coup, on doit refaire son petit cercle d’amis à nouveau alors qu’on vient tout juste de quitter celui de 11ans.  C’est la vie  et c’est la richesse de connaître de nouvelles personnes et aujourd’hui après bientôt 3ans, j’ai des amis en OR qui m’entourent. »

7 – Comment qualifierais-tu le marché de l’emploi mauricien ? En quoi se différencie-t-il de ce que tu as pu connaitre lors de ton expatriation ? 

« Le marché de l’emploi est en pleine expansion mais il y existe encore pas mal d’écarts de salaires entre l’Ile Maurice et l’étranger, cela reste conséquent. Triste réalité ! 

Mais le cadre de vie n’a pas de prix. A 17h00, vous avez le luxe d’aller à la mer avec vos enfants ou encore même un petit afterwork entre collègue face à un magnifique coucher de soleil. »

8 – Que conseillerais-tu aux expatriés mauriciens à l’étranger qui souhaitent revenir vivre à l’Île Maurice ? 

« Je leur conseillerais d’avoir un emploi avant de revenir depuis l’étranger afin d’avoir une sécurité. Une fois que c’est fait, rentrer au pays et s’éclater dans son job. Toujours écouter et suivre ses rêves, malgré les obstacles de la vie, toujours aller jusqu’au bout sans jamais rien abandonner. »





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Après la marque employeur, place au personal branding. Pardon mais, QUESACO?? 

En claire, la marque employeur c’est la communication qu’une entreprise développe pour attirer et conserver les talents. Plus l’image de l’entreprise est positive et transparente, plus elle a des chances d’attirer les profils dont elle a besoin. Les entreprises ont largement adopté la marque employeur, mais pourquoi ne pas inverser les rôles ? Si vous aussi, candidats, salariés, entrepreneurs etc. vous développiez votre personal branding ?

C’est le flou ? Cet article va te donner les clefs pour développer ton personal branding et gérer ta carrière ! 

Qu’est-ce que le personal branding ?

Le personal branding c’est ton identité professionnelle, ta réputation. Elle se crée, et se sculte avec le temps et les expériences. Ta personnalité prend donc les devants de la scène. A travers ton personal branding, tu décides de communiquer avec tes émotions, ton vécu, ta vision. C’est cette vision humaine et réelle qui va convaincre tes clients de travailler avec toi et pas avec quelqu’un d’autre qui ferait peut-être la même chose. Nous sommes tous différents, avec des personnalités différentes et ce qui dessine ta communication correspond à ta personne. 

Que tu sois à la recherche d’un nouvel emploi ou simplement en train de te constituer un réseau professionnel solide, il est essentiel de bien définir ton image de marque. C’est un peu un moyen de prendre ta carrière en main ! 

Pourquoi développer son personal branding ? 

Avec l’explosion du Web, la visibilité publique s’est fortement étendue et le souci de sa réputation touche de plus en plus de personnes.  Aujourd’hui, en clair, il faut être visible et même un magnifique CV ne suffit plus.  L’important c’est donc la réputation de la personne, son identité professionnelle et non plus seulement son bagage technique et académique. Par exemple, quand tu cherches à en savoir plus sur une personne, ton premier réflexe c’est de chercher son nom sur internet, pas vrai ? 

On t’a vu 😉

Qui est concerné ?

Le personal branding est un concept relativement nouveau, mais il peut être adopté et appliqué par presque tout le monde, dans n’importe quel secteur. Peu importe ton statut : employé, freelance, entrepreneur, demandeur d’emploi… dans ta vie professionnelle, il arrive toujours un moment durant lequel il faut savoir se mettre en avant. En effet, que ce soit pour obtenir un emploi, une promotion ou signer un nouveau contrat pour une entreprise, savoir se mettre en valeur est indispensable.

La stratégie à adopter pour développer son personal branding

1.      Se connaître.

Avant de pouvoir te « vendre » tu dois apprendre à te connaître et faire le point sur tes objectifs, tes compétences. Fais donc ce petit exercice d’énumération de : 

  • Tes talents et points forts
  • Tes pistes d’amélioration
  • Ton parcours 
  • Tes objectifs et aspirations
  • Comment te vois-tu dans 5 ans ? Dans 10 ans ?
  • Tes passions
  • Tes centres d’intérêts
  • Qui sont tes références ?
  • Ta valeur ajoutée : Qu’est-ce qui te rend singulier dans ton environnement professionnel ?
  • Tes domaines d’expertise

Tous les éléments que tu as choisis de mettre en lumière doivent fournir une vision, une ligne directrice qui est propre à toi. Connaitre sa différence, sa valeur ajoutée, son style, son univers, ses valeurs, ses passions, ses centres d’intérêts feront ta force. 

2. Se faire reconnaître. 

Maintenant que tu te connais bien, vient le moment de construire ta stratégie de communication. Ainsi, demande toi :  

  • Quel est mon projet professionel et quelle est ma cible ?
  • Auprès de qui souhaite-je faire ma réputation (potentiels clients, employeurs.. ) ?
  • A partir de là, tu es capable de revoir ta présentation sur les réseaux sociaux en gardant en tête ton positionnement pour tes prochaines publications. 

    Quels réseaux sociaux utiliser ? 

    Les réseaux sociaux sont le moyen idéal pour promouvoir ta marque. Il suffit seulement de t’assurer que ce que tu publies projette une image positive de ta marque, de ton identité professionnelle. 

    Tu as plusieurs plateformes qui te seront utiles dépendant de tes cibles et de tes objectifs : 

  • LinkedIn/Viadeo pour augmenter ta visibilité et développer ton réseau professionnel
  • Twitter, qui te permet de suivre l’actualité dans le monde sur tout type de sujet, tu peux donc commenter des publications, débattre et rester en contact avec des acteurs clefs
  • Facebook te permet de publier du contenu dans une atmosphère plus détendue
  • YouTube/Instagram/Flickr/Pinterest, qui sont utilisés pour publier et partager du contenu multimédia (vidéos, photos, dessins, etc.)
  • WordPress/Blogger, te permet d’écrire des articles, de tenir un blog sur tes opinions, tes points de vue. C’est un bon moyen de partager tes expériences, ton univers, ton style
  • En conclusion, les avantages du personal branding 

    1.      Te connaître. Cela te permettra de refixer tes objectifs de carrière et donc mieux la maîtriser. Ici, tu trouveras les softs skills les plus recherchées en entreprise.

    2.      Te faire reconnaître et promouvoir ton savoir-faire. À quoi bon être le.la meilleur.e dans ton secteur si personne ne sait à quel point tu es compétent.e ? En créant ton identité numérique, tu informes le monde de ton expertise et crédibilises donc tes compétences.

    3.      Faciliter le processus de recherche d’emploi. L’un des premiers réflexes des recruteurs est de chercher le nom du candidat potentiel sur internet et plus particulièrement sur LinkedIn. Les informations, ou alors le manque d’informations, qu’ils y trouvent sont tout aussi susceptibles d’écarter un CV, bien qu’il soit attrayant, que d’attirer l’attention sur un candidat plutôt ordinaire. Accorde donc à ta e-réputation l’importance qu’elle mérite. Grâce à cela, tu augmenteras tes chances d’obtenir des entretiens, parfois même sans avoir à postuler. Retrouve nos tips pour trouver un emploi sur les Réseaux Sociaux.

    4.      Obtenir des contrats. Les personnes qui recherchent un spécialiste dans ton secteur d’activité feront appel à toi si tu es reconnu.e par tes pairs et recommandé.e par d’autres professionnels. De ce fait, un commentaire positif, un article intéressant, une bonne critique, etc. sont des éléments susceptibles de convaincre les consommateurs que tu es la personne idéale pour le poste. 

    5.      Développer ton réseau professionnel. Que tu sois freelance, salarié.e, demandeur.euse d’emploi, ton réseau professionnel n’est pas à négliger. Ce réseau te permettra de maximiser tes chances de décrocher des opportunités plus intéressantes. 

    6.      Se démarquer de tes concurrents. Dans un monde du travail où la compétitivité s’étend considérablement, il est essentiel de se démarquer pour ne pas se perdre dans la masse. Se démarquer de ses concurrents pour faire une impression plus forte et donc mieux se vendre, tel est l’objectif du personal branding. 

    Alors convaincu.e ?

    Désormais tu as toutes les clefs en main pour développer ton réseau professionnel et maîtriser ta carrière !

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    Nos tips pour mettre en avant son profil pour décrocher un job 👉https://meetyourjob.com/mettre-en-avant-son-profil-pour-decrocher-un-job/

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    Vous devez recruter de nouveaux collaborateurs et vous vous demandez si vous devez plutôt faire appel à un Chasseur de Tête ou à un Recruteur ?

    Vous recrutez de nouveaux talents pour intégrer votre team et vous vous questionnez sur la meilleure méthode à adopter : Chasse de tête VS Recrutement ?

    « Ce n’est pas la même chose ? » demandez-vous 🤔

    Et non, entre un Recruteur et un Chasseur de tête il y a un monde de différence. Un métier pour un besoin spécifique !

    Le choix se fera bien évidemment en fonction des talents que vous recherchez pour votre team.

    Pour bien faire ce choix, il faut avant tout bien connaître les différences entre ces deux métiers.

    D’ailleurs, si vous avez prévu de recruter cette année, 👉 on peut vous prêter main forte !

     

    LES DIFFÉRENTS BESOINS POUR L’ENTREPRISE

     Le chasseur de tête et le recruteur se distinguent principalement par les profils recherchés.

    L’une des plus grande différence entre un chasseur de tête et un recruteur est qu’ils ne recherchent pas les mêmes types de profils.

     

    CHASSEUR DE TÊTE : RECRUTEMENT CIBLÉ

     

    Nos chasseurs de têtes sont de véritables Sherlock Holmes du recrutement🔎.

    Leur mission : Dénicher les meilleurs profils du marché en déployant tous les moyens possibles et inimaginables ! Et oui, car la meilleure façon de trouver des profils rares reste tout de même d’aller les chasser.

    Les candidats potentiels étant rares, nous sommes à la recherche perpétuelle de talents.

    Entendons-nous bien, un Recruteur est également à l’affût de profils hautement qualifiés MAIS le Chasseur de Tête est, quant à lui, spécialisé dans la recherche de profils pénuriques et/ou de haut niveau (Top/Middle management). La voilà la véritable différence !

    « Mais comment fait-il pour dénicher la perle rare du pacifique ? » et bien c’est grâce à des outils performants (Growth Hacking, Algorithmes, Messages d’accroches hyper personnalisés…), d’un réseau personnel et professionnel extrêmement large ainsi qu’une approche directe parfaitement ciblée, aussi bien au niveau des soft skills que des hard skills.

    Le Chasseur de tête est équipé d’outils et d’un réseau qui vont lui permettre de vous trouver la perle rare. Ainsi, il se concentre sur l’approche directe de profil correspondant parfaitement à votre recherche, aussi bien au niveau des soft skills que des hard skills.

     

    Vous êtes à la recherche d’une pépite Top et Middle Management ? 🌟 On vous écoute

    RECRUTEUR : AUGMENTEZ LE VOLUME !!!!

    Le recrutement quant à lui est plus versatile et volumique. Vous gardez le contrôle de votre recherche tout en vous libérant de vos tâches inutiles. Nos recruteurs affichent vos offres d’emploi sur nos jobboards, les boostent sur les réseaux sociaux afin de « targetter » un maximum de candidats et mettre en avant votre marque employeur, les trient, les interviewent et les sélectionnent afin de vous envoyer les meilleurs talents.

    En d’autres termes : les candidats viennent à nous en postulant directement à nos offres, nous n’allons pas les chercher contrairement à une chasse. En effet, ce sont généralement des profils variés (en matière de compétences et de niveau d’expertise), à l’écoute des opportunités et que l’on retrouve plus facilement sur le marché de l’emploi.

    De plus, dans un service de recrutement nous recherchons souvent des profils variés en matière de compétences et de niveau d’expertise, et des profils que l’on retrouve plus facilement sur le marché de l’emploi.

    UNE MÉTHODOLOGIE BIEN DIFFÉRENTE

    À l’inverse d’un recrutement où c’est le candidat qui contacte le recruteur suite à l’annonce d’une offre, nos Chasseur de Tête vont vers le candidat et l’encouragent à postuler pour l’offre. C’est une démarche plus directe où le Chasseur de Tête ira dans la majorité des cas « débaucher » des pépites déjà en poste.

    Le Chasseur de Tête chez MeetYourJob se charge par la suite d’analyser les profils, de contacter les candidats, de faire un entretien de pré-qualification, puis une discussion plus approfondie à travers notre méthode STAR et termine par un compte-rendu détaillé retraçant l’histoire du profil short listé qu’il enverra à l’entreprise qui recrute.

    Le recruteur, pour sa part, sera le plus souvent appelé pour des recrutements plus volumiques ou réguliers, sur des profils qu’il est possible de trouver par des moyens conventionnels tels que les jobboards, les réseaux sociaux et diffusion d’offre. Il se charge de disperser les offres de l’entreprise à travers son réseau et analyse ensuite les candidatures reçues pour en sélectionner quelques-unes pour le client.

     

    Voici un tableau récapitulatif pour schématiser la démarche de ces deux métiers chez MeetYourJob :

     

       

    CHASSEUR

     

    RECRUTEUR

    RECOLTE DU BESOIN DU CLIENTS
    APPROCHE DIRECTE – CHASSE DE PROFILS RARES ✖︎ 
    PUBLICATION DES OFFRES D’EMPLOIS SUR LES RÉSEAUX
    BOOSTING SUR LES RÉSEAUX
    ENTRETIEN DE PREQUALIFICATION
    ENTRETIEN APPROFONDI PSYCHO-SOCIOLOGIQUE ✖︎ 
    SELECTION DES MEILLEURS CANDIDATS
    PROFILS RARES ET DE HAUT NIVEAU ✖︎ 
    RECRUTEMENT TOP & MIDDLE MANAGEMENT ✖︎ 
    RECRUTEMENT SPECIFIQUE ET PONCTUEL ✖︎ 
    MISE EN AVANT DE LA MARQUE EMPLOYEUR
    RECRUTEMENT EN VOLUME ET RECURRENT ✖︎ 
    RECRUTEMENT URGENT
    COMPTE RENDU DÉTAILLÉ ✖︎ 

     

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    Envie de faire appel à nos Chasseurs de Têtes ? 👉 Margaux et Julie sont prêtes à échanger !

     

    Besoins de recruter ? 👉 Dites nous tout sur les pépites que vous recherchez ! 

     

    Article rédigé par Béatrice – Community Builder and Customer Care Officer chez MeetYourJob & CareerHub.mu 

    Qui n’a jamais rêvé de pouvoir bosser chez soi lorsque son travail peut lui permettre ?

    Imaginez un instant le fait de pouvoir accomplir toutes votre To Do, en quelques heures, plus rapidement et avec plus d’efficacité.

    À la fin de votre journée, vous êtes satisfait de votre efficacité et du travail achevé et vous ne vous en voulez pas pour « les choses que vous n’avez pas réussi à faire ». Bref, c’est ce qu’on appelle être productif.

    Mais alors, quelles sont les règles d’or pour optimiser son temps lorsque l’on travaille à la maison ?

     

    Nous allons aborder 4 astuces qui vous aideront à accroître votre productivité tous les jours, mais avant, nous allons vous faire un petit rappel de deux règles maîtresses de la productivité :

    • La loi de Pareto qui stipule que « 80 % des résultats proviennent de 20 % des efforts ».
    • La loi de Parkinson qui profère « Une tâche nous prendra que la durée qu’on a décidé de lui attribuer ».

     

    1. COMMENCEZ PAR DÉFINIR VOS OBJECTIFS 🤓

     

    Prenez le temps, chaque dimanche soir de créer une liste de « goals » pour la semaine. Cette liste peut être en lien avec certaines choses que vous souhaitez atteindre dans votre vie professionnelle ou elle peut aussi être un objectif qui se rapporte plus à votre développement personnel.

     

    Faites une liste de minimum 3 points à réaliser dès lundi matin et n’oubliez pas de vous auto-évaluer à chaque fin de semaine. S’auto-évaluer vous autorisera à vous remettre en question et observer si les moyens utilisés pour arriver à l’objectif fixé fonctionnent.

     

    Petit conseil, ne soyez pas trop laxiste ou trop dur envers vous-même si votre objectif fixé n’a pas été réalisé. Restez focus et persévérez jusqu’à ce que votre but soit atteint même si cela prend plus de temps. N’hésitez pas à partager vos objectifs et pourquoi pas demander de l’aide à votre entourage perso et pro.

    • Pour écrire vos objectifs, vous pouvez adopter la méthode classique, c’est-à-dire papier/carnet/agenda (et stylo bien-sûr). Laissez place à votre créativité et rajoutez des couleurs sur votre fiche que vous allez garder avec vous pour la journée.

     

     

    • Des applis tels que Todoist/Evernote/Onenote peuvent aussi vous plaire si vous préférez votre smartphone ou votre tablette. (Ou si vous n’avez plus de stylo).

     

    2. TROUVEZ LE TEMPS DE PRENDRE SOIN DE VOUS 🌞

     

    Avec le quotidien professionnel, nous oublions parfois de prendre soin de nous ; horaires de repas décalés,  journée à courir partout, essayant de tout faire avant de vous réveiller et de tout recommencer.

     

    Prendre soin de soi, c’est rajouter un peu de « moi » dans sa journée professionnelle. Essayez de favoriser la relation que vous avez avec vous-même. Donnez à votre être tout ce dont vous avez besoin pour être plus productif.

     

    Voici quelques petites suggestions à mettre en pratique tous les jours afin d’augmenter votre productivité journalière :

    • Démarrez votre journée tôt. La productivité c’est comme la confiance, ça se gagne ! Les lèves- tôt ont tendance à être plus productifs pour diverses raisons : avoir plus de temps pour se concentrer sur des tâches importantes et prendre de meilleures décisions en pensant plus clairement. Le cerveau est plus alerte le matin. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt n’est-ce pas ?

     

    • Faîtes des étirements le matin au réveil pour réveiller votre corps en douceur et stimuler votre circulation sanguine. Cela vous aidera aussi à réduire le stress et à booster votre énergie pour la journée.

     

    • Prenez le temps de manger un petit déjeuné sain pour vous donner les nutriments nécessaires pour attaquer de pied ferme votre journée de travail.

     

    • Lisez des livres sur le développement personnel qui vous encourageront à recadrer vos objectifs et avoir un état d’esprit plus positif.

     

    • Méditez : La méditation est une méthode simple et efficace qui peut vous aider à dynamiser votre efficience. Si vous êtes complètement détendu, votre esprit fonctionnera avec plus d’efficacité. Cela vous permettra de booster votre mémoire, améliorer votre créativité et de bien gérer votre stress.

     

    • Travaillez votre positivité : Un état d’esprit positif peut avoir un impact profond sur la qualité de votre vie. Ne vous laissez pas engloutir par la négativité des situations actuelles. Si vous avez besoin d’être plus productif, assurez-vous d’apporter une attitude positive.

     

    👉 Pour réussir à mieux prendre soin de vous : Essayez nos bons plans ! 

     

    • Utiliser des applis tels que FITON pour vous aider à faire votre sport tous les jours et à suivre votre progression.

     

    • Si vous voulez essayer la méditation, nous vous conseillons l’application Petit BamBou où vous aurez le choix entre la méditation libre et la méditation guidée.

     

    • Si vous aimez la lecture, nous vous recommandons « The Power of Your Subconscious Mind » du Dr.Joseph Murphy qui vous aidera dans votre méditation et à développer un état d’esprit positif. Le livre est disponible en pré-commande chez tous les libraires.

     

    • N’hésitez pas à surfer sur YouTube ou Marmiton pour trouver des recettes délicieuses pour vos repas. En travaillant à la maison, moins de risque de manger à l’extérieur. C’est donc une belle occasion pour revoir vos habitudes alimentaires et vous faire plaisir en cuisine.

     

    Alors vous vous sentez déjà mieux rien que d’y pensez ?

     

    3. CRÉEZ VOTRE ESPACE DE TRAVAIL COSY 👩‍💻👨‍💻

     

    Choisissez une pièce de votre maison qui soit bien ventilée, spacieuse et lumineuse où vous pouvez être le plus concentré. Évitez de travailler dans le lit ou dans le canapé. (On sait que c’est tentant mais faites l’effort, vous culpabiliserez moins en fin d’aprèm).

     

    Voici quelques conseils pour optimiser votre ambiance de travail à la maison :

     

    • Orientez votre bureau afin qu’il bénéficie d’une belle luminosité. Pas de lumière directe et évitez les pièces sombres.

     

    • Choisissez des meubles fonctionnels et pratiques qui sont adaptés à votre travail. (Le canapé ne compte toujours pas, sauf pendant votre pause).

     

    • Mettez une petite musique de fond qui vous aidera à vous concentrer ou à l’inverse optez pour des boules-quies si votre environnement est bruyant.

     

    • Poursuivez les rituels du bureau par exemple la réunion du matin qui peut se faire en appel vidéo, dites bonjour à vos collaborateurs par vos applications de messageries.

     

    Des applications comme WhatsApp sont souvent utilisées pour communiquer mais vous pouvez aussi télécharger des outils comme Slack, un outil de messagerie instantané qui vous permet de créer des conversations par rapport à chaque projet que vous gérez ou de discuter en direct avec vos collègues.

     

    Surtout, à la fin de la journée, n’oubliez pas de ranger votre espace de travail comme vous le feriez au bureau. Consultez Pinterest afin de trouver des idées de déco sympas pour votre espace de travail. Avoir un beau bureau avec une belle lumière vous motivera à travailler.

      

    4. LA MÉTHODE POMODORO ⏲

    Le concept de cette méthode est simple : Accomplir une tâche rapidement, efficacement et de manière qualitative. Le but c’est que vous restiez concentrer sur une seule tâche à 100 % pendant 25 minutes. Voici comment vous allez y arriver :

    • Mettez un minuteur de 25 minutes et travaillez non-stop.
    • Au bout de ces 25 minutes, accordez-vous 5 minutes de pause.
    • Repartez sur 25 minutes de travail.
    • Faites plusieurs cycles et prenez des pauses de 5 minutes à la fin de chaque cycle.

     

    C’est une méthode simple mais efficace qui peut vous aider sur les missions où vous avez tendance à procrastiner, surtout en étant en télétravail. En adoptant cette méthode, vous serez plus productif et compétent sur certaines missions qui demandent beaucoup de concentration. Pour ajouter un côté fun, pourquoi ne pas vous motiver avec un carré de chocolat ou un Carambar à la fin de chaque cycle. (Oui on est gourmand).

     

    N’oubliez pas la règle des deux minutes : Si une action vous prend moins de 2 minutes à faire, traitez la dans l’immédiat.

     

    Si vous utilisez Google Chrome, vous pouvez télécharger l’extension Mariana qui est un minuteur spécial Pomodoro ou mettre un chrono sur votre téléphone.

     

    Vous connaissez maintenant les bons plans pour pouvoir travailler de manière détendue et efficace chez vous ! Si vous arrivez à vous organiser ainsi pendant quelques heures par jour, vous pourrez rapidement accomplir beaucoup plus que lorsque vous étiez au bureau. La culture du télétravail, ça s’apprend et ça s’entraîne. N’oubliez pas de consulter notre « Cheat Sheet » mit en place pour réaliser un télétravail efficace !

     

    Alors, souriez et dites « productivité ». Let’s goooo ! 🔥

     

    Article rédigée par Béatrice – Community Builder and Customer Care Officer chez MeetYourJob & CareerHub.mu 

    Chez MYJ, on a toujours cru au pouvoir du Inbound Recruitment et à la puissance du web et des réseaux sociaux pour mener des campagnes de recrutement efficaces, mais avec les UTM, on en a maintenant la certitude !

    On a toujours su que nos actions online (mailings, réseaux sociaux, blog…) nous permettaient d’apporter du trafic notre site web et donner de la visibilités aux fiches de postes de nos clients, mais on n’a jamais vraiment su le nombre exact, ou encore pu déterminer quelle action en particulier était plus efficace qu’une autre.

    Depuis la fin du confinement, tous les jeudis, c’est formation Koudetat au bureau (ouai on kiffe !).

    Jeudi formation

    Photo equipe

    Le mois dernier, on a appris quelque chose qui a littéralement changé notre manière d’appréhender et analyser nos actions marketing online : les UTM.

    Derrière cet acronyme barbare se cache en réalité une méthode ultra-simple et efficace pour analyser votre ROI sur n’importe quelle action d’acquisition de trafic !

    Un exemple concret vous parlera davantage :

    La semaine dernière, on a lancé une campagne promotionnelle sur notre service de headhunting, la promo « Pay What You Want ». Et si vous avez manqué la super vidéo de Margaux, je vous la remets, parce qu’elle est vraiment trop cool 😉

    https://www.youtube.com/watch?v=ZVJY6TT4Nr8

    Bref, pour cette promo, on a décidé de mener plusieurs actions de com :

    • Mailing à notre portfolio de clients
    • Promotions individuelles sur nos comptes LinkedIn perso  (parce qu’on éclate notre portée à chaque nouveau post, et d’ailleurs on vous concocte une formation à ce sujet qui sortira bientôt !)
    • Approches directes par mail ou LinkedIn PM à nos prospects

    Chacune de ses actions ramenaient l’utilisateur à un typeform nous permettant de récolter la donnée du client et son besoin : lien typeform.

    Sauf qu’à la différence de nos campagnes précédentes, cette fois-ci, on a vraiment voulu savoir quelle action était la plus efficace pour emmener du trafic (des utilisateurs) vers ce typeform.

    C’est là que les paramètres UTM entrent en jeu ! Et voici les étapes à suivre :

     

    Comment ajouter un site sur google Analytics

    Analytic MYJ

    1- Assurez-vous que la page web que vous souhaitez promouvoir est bien trackée dans votre google analytics. Si elle ne l’est pas, il vous suffit d’ajouter une propriété dans l’espace admin.

    2- Allez sur UTM Maker pour obtenir un UTM link à partir de l’URL que vous souhaitez promouvoir. 

    Je vous conseille de faire un UTM différent pour chaque personne et action menée. Par exemple, un UTM pour votre post linkedIn, un autre pour celui de votre collègue, et encore un autre pour votre mailing.

     

    3- Recensez vos UTM dans un tableau de suivi pour pas vous perdre. Nous on utilise Monday mais vous pouvez utiliser excel.

    Veillez à utiliser une nomenclature qui vous correspond et que toutes les personnes de votre équipe menant des actions de com online s’engageront à suivre.
    Nous par exemple, on crée des clusters de campagnes, et on nomme chaque action selon la nomenclature suivante :

    CAMPAIGN NAME_Medium_Source_Keyword

    Le medium correspond à notre canal d’acquisition pour l’action menée : mailing, organic social media, paid social media, blog, banner and display…
    La source, elle correspond au nom de l’outil utilisé : Facebook, LinkedIn, Agile CRM, Google…
    Le keyword, est plus personnel à la personne qui lance l’action et il permettra de reconnaitre la campagne sur google analytics.

    Finalement, notre tableau de suivi donne ça :

    UTM tracking table

    Monday MeetYourJob

    Cette étape de recensement et appellation est essentielle, car c’est comme cela que vous vous retrouverez dans google analytics.

     

    4- Enfin, allez sur « toutes les campagnes » dans google analytics, tapez le nom de votre campagne, et retrouvez toutes vos actions avec leurs résultats.

    Si on garde notre exemple, comme vous le voyez, on retrouve les mêmes titres que dans notre tableau de recensement, et à côté combien d’utilisateurs chaque action a apporté !

    analyse campagnes PWYW

    Analytics MeetYourJob

     

    Chez nous, un bravo à Margaux qui mène un super travail de prospection ! 👏

    Le freelancing a le vent en poupe depuis plusieurs années et remet en cause la nature même du travail. Mais que savez-vous vraiment de ses origines ? De son histoire ? Restez avec nous pour une petite remontée dans le temps.

    1 – Les origines

    Le terme freelancer nous vient du Moyen-Âge. Les Freelancers étaient les soldats offrants leurs services au roi en échange de paiement. Ces soldats étaient majoritairement issus d’armées ayant été vaincues dans des batailles préalables, ils étaient à présent libres de pouvoir offrir leurs services à n’importe quel camp. Ces soldats étaient plus connus sous le nom de condottiere. Ce terme désigne le meneur d’une bande de mercenaires. Ces soldats étaient principalement présents dans l’Italie du 13ème siècle.

    Un de ces soldat freelancer les plus célèbres s’appelait Wallenstein. C’était un mercenaire ayant activement pris part aux 30 ans de guerre qui ont dévastés l’Europe Médiévale. C’est durant ce conflit que Wallenstein offre ses services à l’empereur Ferdinand II d’Autriche. Fier meneur d’une armée de plus de 120 000 âmes, il se range pécuniairement aux côtés des Catholiques bien même qu’il soit Protestant de naissance. Ceci portera un coup fatal à cette branche du Christianisme.

    Bénéficiant de l’appui des Habsbourgs, il continuera en tant que suprême commandant de leur armée. En 1600, il se convertit même au catholicisme.

    Wallenstein, c’est un peu la success story du freelancer médiéval, surtout pour sa victoire contre les Protestants lors de la bataille de Dessau en 1626 (bon à la fin de l’histoire il se fait tuer par ses propres soldats par odre de Ferdinand II, mais du coup ça gâche un peu la success story donc ne dites rien).

    2 – Le terme

    Le terme Freelancer possède une double origine Germano-Francophone. En effet, la première partie du mot « free » signifie aimer en Allemand et la seconde partie, « lance » signifie jeter quelque chose avec plus ou moins de force en Français. La combinaison de ces deux termes attrait au besoin de liberté.

    Le terme apparaît pour la première fois dans l’ouvrage de Thomas N. Brown :” The life and Times of Hugh Miller”. D’après les différents sites parcourus, c’est la plus ancienne référence du terme.

    Au fil de l’histoire, le terme freelance a été utilisé pour désigner un politicien sans affiliation idéologique. C’était de façon basique, des politiciens ne voulant prendre part à aucun parti, avec leurs propres convictions et ils mettaient un point d’honneur à ne jamais faire de compromis avec ces dernières. Lorsqu’on y pense, c’est très proche de notre vision moderne du freelancing.

    3 – Le top départ du freelancing moderne durant les années 90.

    Le freelancing tel qu’on le connaît aujourd’hui prend ses racines aux États-Unis grâce à Jack Nilles & Franck Schiff. Au début, Nilles appelle ça « telecommunication ». En effet, durant les 70’s, les transports en communs n’étaient pas tout à fait au point dans les villes. Par conséquent, il était très difficile pour les habitants des alentours de se rendre en métropole pour travailler. Le monde a été révolutionné par l’invention du téléphone en 1876, ils étaient déjà à disposition dans les bureaux aux US. Ceci a donné l’idée à Nilles que les téléphones pouvaient être la réponse à ce problème de transports. C’est ainsi qu’il introduit le concept de travailler à la maison avec le téléphone.

    Bien évidemment, cette idée s’est heurté à de nombreux détracteurs, il fallait donc prouvé que ça pouvait marcher. En conséquence, Nilles décide de mener une expérience avec l’Université de Californie, and guess what ? Les résulats étaient plus que positifs. Par la suite, il obtient des financements publics et le gouvernement lui apporte son soutien. L’idée de Nilles, en plus de résoudre le problème de transport, permettait également de réduire globalement la pollution en forte augmentation aux Etats-Unis à ce moment-là.

    Cependant, ce qui propulse vraiment le freelancing aux Etats-Unis est l’article de Franck Schiff, à ce moment-là responsable du comité pour le développement économique « working from home can save gasoline ». Dans cet essai, il démontre tous les avantages du travail à distance.

    Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Gil Gordon, un expert du recrutement vient également y rajouter son grain de sel. Il contribue à la montée en notoriété du travail à distance à travers l’implémentation pratique du freelancing dans plusieurs agences gouvernementales.

    Par la suite, c’est l’arrivée révolutionnaire d’internet et son utilisation de plus en plus accrue qui fait du freelancing ce que nous connaissons aujourd’hui.
    Voilà, maintenant vous pouvez vous targuer de connaître l’histoire du freelancing !

    mettre-en-avant-son-profil-youve-got-this

    J’ai assisté à un live très instructif animé par Rayed Benbrahim de Pratical Programming en compagnie de Théo Gacouin, recruteuril y a deux semaines avec pour thématique la mise en avant de son profil

    Je me suis dit que mes notes et ma propre expérience en tant que Talent Researcher pourraient’intéresser afin de décrocher ton prochain emploi…

    1- La veille, essentielle pour mettre en avant son profil

    Être au courant du marché de l’emploi n’est pas réservé uniquement aux personnes qui sont en recherche active. Une veille régulière te permettra d’abattre un travail sur le long terme pour mettre en avant son profil. Elle te servira le jour où tu seras pleinement à l’écoute du marché. Cette veille te permet également de construire/d’étendre ton réseau. Des tonnes de possibilités s’offrent à toi pour effectuer cette veille : meetup, communauté Slack, échange avec d’anciens collègues, webinaires, newsletter...

    2- Connaître le marché

    Avant de mettre en avant son profil avec succès, il faut être préparé. Bien connaître l’entreprise dans laquelle on postule est un élément clef : beaucoup d’employeur t’attendront sur ce point.

    N’hésites pas à te renseigner auprès des professionnels tels que des chasseurs de tête pour être au plus près de la réalité du marché.

    3- Pousser le recruteur à s’identifier à ton profil

    L’idée n’est pas de faire de la pêche au chalut pour reprendre l’expression de Rayed. Candidater à tout et n’importe quoi, ne te rendra pas attractif. Il faut savoir cibler les entreprises et les opportunités mais également trouver les bons mots. C’est ainsi que l’employeur commencera à se projeter dans une collaboration avec toi dès la lecture de ton CV.

    4- Personnaliser chaque candidature

    Envoyer un CV avec un intitulé bien loin de l’offre à laquelle on postule est une erreur. Certes cela prend plus de temps mais l’employeur remarquera l’effort de la personnalisation et cela pourra t’aider à te démarquer. Analyses bien l’offre et cibles les mots clefs pour les insérer dans ton CV. Si certains employeurs sont encore friands d’une lettre de motivation, ce document est de plus en plus mis de côté. Tu peux miser sur un petit résumé dans ton CV ou dans ton mail, de quelques lignes où tu peux parler de tes valeurs, de tes aspirations ou de ton parcours. Là encore utilises des mots forts qui sont dans l’annonce.

    5- Effectuez un suivi minutieux de vos candidatures

    Lorsque l’on est en pleine recherche d’emploi, un employeur peut nous contacter à n’importe quel moment et il faut se tenir prêt. L’idéal est de faire un suivi avec Trello, Monday ou la bonne vieille méthode du papier-stylo (Rayed partageait d’ailleurs un template à l’issue du live).

    6- L’entretien pour mettre en avant son profil

    Si tu es arrivé jusqu’ici, tu as déjà pas mal d’informations sur l’entreprise. Tu peux maintenant aller plus loin. Très souvent à la fin de l’entretien on te demandera si tu as des questions : prépareles à l’avance. Si les réponses ont déjà été donné durant l’entretien, fais remarquer que l’entretien a répondu à toutes tes questions. Prends des notes afin de montrer ton intérêt et surtout n’oublies pas d’imager tes propos avec des exemples concrets (Lorsque l’on te demande si tu arrives à gérer les deadlines, ne réponds pas seulement oui mais racontes la dernière fois que tu as dû le faire).

    7- Être ouvert aux alternatives du CDI

    Un dernier point et cela va être en lien avec la situation économique mondiale actuelle, si pour encore beaucoup une activité salariale en CDI est privilégiéepourquoi ne pas s’intéresser à une activité Freelance ? En pleine expansion à Maurice, MeetYourJob avec le soutien de CareerHub ont justement lancé leur plateforme avec également pour objectif de créer une communauté de freelancer.

    Si tu es intéressé c’est par ici 👉  clique ici

    Et vous quelles sont vos astuces de réussite pour décrocher un job ?

    signe embauche freelancer

    Il y a une multitude de raisons pour lesquelles opter pour un freelancer à la place d’un employé.  Elles peuvent être stratégiques, managériales ou économiques.

    La crise du COVID19 a rendu le climat particulièrement favorable à l’embauche temporaire de travailleurs indépendants, soulignant ainsi la difficulté qu’ont les entreprises à gérer une facture salariale élevée. De la même manière que la crise financière de 2008 a favorisé l’émergence de la « gig economy », il n’y a pas de doutes que la crise du Covid19 va résulter en l’émergence des postes à temps partiel et du Freelancing à l’Île Maurice.

    Nous avons sélectionné les 5 raisons pour lesquelles vous devriez embaucher un freelancer :

    1- La Flexibilité et la réactivité, les maîtres-mots du freelancer.

    L’inhérente flexibilité d’un freelancer le classe à l’avant-plan des solutions d’embauche.

    C’est un moyen rentable de remplacer des employés qui sont en congés paternité, maternité ou en vacances tout simplement. Les Freelancers peuvent également vous aider à faire face aux périodes de forte activité (un.e nouveau.elle vendeur.se dans votre point de vente lors des fêtes de fin d’année par exemple) ou remplir un poste à temps partiel.

    Plus encore, une fois que votre besoin de ressources aura diminué, vous n’aurez pas à aller à travers toutes les formalités financières et administratives résultant d’une décision de se séparer de certains membres de votre équipe. Un freelancer est embauché pour une période définie ou pour un projet, sa mission prend fin lorsque le livrable sur lequel l’arrangement était porté est délivré.

    2 – Avoir un personnel ultra productif

    A condition que le freelancer travaille pour une période de temps et une mission précise, il sera totalement dédié au projet. En effet, un des principaux objectif d’un freelancer est de construire une base client fidèle pour s’assurer de futures missions. C’est pourquoi, professionnalisme, efficacité, réactivité et flexibilité sont ses maîtres-mots.

    productivité-livre-freelance

    3 – Réduire le coût salarial global en optant pour un freelancer

    Le coût d’un freelancer peut sembler élevé au premier coup d’œil. Cependant, lorsque vous le comparez au coût d’un salarié, vous vous rendrez compte du contraire. En effet, un freelancer n’est présent que pour un projet bien spécifique et par conséquent pour une durée limitée. Tandis qu’engager un employé mène obligatoirement à un engagement sur le plus long terme. Si l’on compare les coûts que cela représente pour une société basée à l’Île Maurice, les services d’un freelancer sont beaucoup moins onéreux. En effet, un freelancer est là pour une période de temps plus courte et l’entreprise n’a pas à payer les frais et taxes provenant de l’embauche d’un salarié (NPF, NPS, Levy, Assurance, congés, bureaux, équipements, etc.)

    4- Une expertise technique précieuse et une vision externe

    En recrutant un freelancer, les entreprises s’offrent les bénéfices d’une expertise et de compétences avancées dans un domaine spécifique.Les Freelancers d’aujourd’hui sont présents dans tous les domaines, a tout niveau d’expérience. A l’heure actuelle, les entreprises peuvent engager un spécialiste informatique, des créatifs et même des cadres supérieurs pour un contrat freelance à court ou moyen terme.

    livre avec des schémas pour démontrer l'expertise des freelancer

    5 – Capacité de « tester » de futurs talents

    Vous avez un besoin urgent mais vous n’êtes pas tout à fait convaincu par le candidat ? Un profil vous attire mais vous n’avez pas de besoin particulier et vous voulez connaître le retour sur investissement avant de procéder à une embauche définitive ? Offrir un contrat de freelance pour débuter est un excellent moyen de vous assurer de ses compétences et de sa capacité d’adaptation à votre environnement avant de lui offrir un contrat sur le long-terme.

     

    Pour autant, embaucher des freelancers n’est pas le remède à tout. Il y a des fois où avoir un employé est la meilleure solution. Les travailleurs indépendants peuvent mettre plus de temps à s’adapter à vos procédures et ils ne possèdent peut être pas le même niveau de loyauté qu’un salarié.

    Ainsi, pour chaque position nécessitant d’être remplie au sein de votre entreprise, nous vous conseillons de vous poser les questions suivantes pour définir la collaboration appropriée :

    Si NON,  considérez plutôt un.e Si OUI, considérez plutôt un.e
    1.     Est-ce que vos ressources internes peuvent compléter le projet en temps voulu sans sacrifier d’autres missions ? FREELANCER EMPLOYÉ
    2.     Est-ce un besoin à long-terme ? FREELANCER EMPLOYÉ
    3.     Est-ce que le job demande des compétences spécifiques ? FREELANCER EMPLOYÉ
    4.     Est-ce que le travailleur doit performer cette tâche spécifique à plein temps et de façon exclusive ? FREELANCER EMPLOYÉ
    5.     Est-ce que le travailleur peut décider quand et où la mission peut être accomplie ? EMPLOYÉ FREELANCER

    Nos équipes chez CareerHub et MeetYourJob se tiennent à votre entière disposition pour vous aider dans votre choix.

    Trouver et travailler avec un freelancer c’est un peu le même process que recruter ton expert comptable : tu galères à trouver ta pépite et encore pire, tu ne sais pas lequel choisir, tu comprends pas tout ce qu’il dit mais tu dois quand même le séduire et le faire adhérer à ta structure et ta vision, et surtout après l’avoir recruter (youhou) le processus ne s’arrête pas là : il y a toute une phase d’onboarding pour fidéliser ta nouvelle recrue. 

    Et bien pour un freelancer qui va travailler avec toi c’est le même enjeu ! Bien sûr, on ne parle pas d’onboarding, ni de relation à bâtir sur le long terme (quoique si besoin récurrent ?) mais bien des clés pour travailler avec lui avec succès et que la collaboration soit agréable ! 

    Tu vas donc te poser ces questions : notre management est-il le même entre un collaborateur full time et un freelance ? Comment faire pour collaborer avec succès avec un expert extérieur et ponctuel à mon entreprise ? Que dois-je dire et ne pas dire ? En bref, comment ca marche et bien ? 

    Bonne nouvelle : ce sont les questions à 1 millions de dollars, mais nous avons la solution à t’apporter et encore mieux on va te détailler tout ça en 8 étapes clés : 

    1 – Prendre le temps : faire découvrir ton univers et engager ton freelancer

    Une fois que tu as eu un coup de coeur sur le profil d’un freelancer, sa personnalité et son expertise il est important de prendre le temps de toi aussi lui expliquer qui tu es ! N’oublie pas que c’est à travers toi qu’il va pouvoir comprendre ton univers, ton entreprise, ton fonctionnement, et surtout ta vision. C’est capital de lui raconter ton histoire d’entreprise pour qu’il puisse s’aligner dans sa future mission à tes aspirations et être en phase, comme si c’était un collaborateur de plus de 2 ans qui a réalisé le projet. Crois nous, ce ne sera pas du temps perdu ! 😉 

    2 – Avoir un brief clair, percutant, et cohérent 

    Après lui avoir raconté ton histoire : rentre dans le vif du sujet et pourquoi tu as besoin de lui ! Un brief clair et détaillé est primordial pour que le freelancer puisse t’accompagner et répondre à ton besoin. Plus il y a d’informations : mieux c’est ! Comme on dit, il vaut mieux trop que pas assez. Ce brief a plusieurs importances : permet de bien remettre à plat ton souhait, savoir quelles sont tes points bloquants, les documents / outils que tu as déjà et ce dont tu as besoin, émettre tes idées et tes souhaits, définir le scop de la mission du freelancer. 

    N’hésite pas à fournir aussi des documents clés de compréhension pour le freelancer en fonction de ton besoin. Si par exemple tu recherches un développeur web n’hésite pas à lui transmettre tes maquettes et ton cahier des charges pour qu’il puisse le challenger et bien cerner ton souhait. 

    Et oui… on ne construit pas son potager sans planter des graines, et bien une collaboration freelance c’est la même chose ! 

    3 – L’écouter : c’est lui l’expert ! 

    Oui oui… l’écoute et le partage c’est important ! Il va clairement te poser beaucoup de question pour être sur la même longueur d’onde que toi et challenger tes idées pour voir plus loin et t’apporter de nouvelles pistes de réflexion. Tu fais appel à lui pour une expertise et un renfort, alors c’est primordial de savoir dire non mais aussi d’écouter les feedbacks constructifs : c’est comme ca que tu vas décoller et faire de la croissance. 

    petit garçon freelancer qui travaille

    4 – Comprendre la méthode de travail du freelancer

    Nota bene : un freelancer a sa propre organisation et méthodologie. En quête de liberté et flexibilité professionnelle il va s’organiser au mieux pour respecter les deadlines mais il ne faut pas paniquer si tu reçois un mail de lui à 4h du matin et non 10h. 

    Beaucoup travail sous la méthodologie Agile pour te tenir au courant des avancés du projet. A vous d’estimer ensemble comment vous souhaitez travailler sans lui imposer un rythme qui n’est pas le sien : ça ne matchera pas ! 

    5 – S’accorder sur un devis et s’y tenir 

    Le devis constitue par écrit votre accord et champ d’action. Il vaut mieux qu’il soit bien fourni reprenant point par point le plan d’action du freelancer pour réaliser ton projet / mission. Une fois qu’il est validé il ne faudra pas revenir en arrière ! Si à la fin du travail effectué et le livrable fourni tu as d’autres missions à lui confier à ce moment la vous ferez ensemble un nouveau devis ! En bref : il ne faut pas tirer sur la corde. Tu travailles de manière ponctuelle avec lui et les missions n’évoluent pas. 

    6 – Faire confiance et être flexible 

    2 ingrédients d’un cocktail parfait d’une collaboration entreprise / freelancer : 

    • Confiance = se fier à l’expertise d’autrui et croire en lui 
    • Flexibilité = se comporter de manière agile pour atteindre un intérêt commun

    personne squattant devant son ordinateur

    7 – Bien communiquer et avoir de la visibilité

    Pas question de rester sans nouvelles pendant 1 mois pour un beau jour avoir le livrable final dans ta boite mail ! 

    Ne pas avoir de visibilité et ne pas communiquer créera automatiquement de la frustration. Un autre ingrédient : la réactivité. Il y a beaucoup d’outils avec lesquels vous pouvez travaillez et voir en un clic les évolutions du projet (Trello, Monday, Slack, Drive…) ce qui te permettra d’être rassuré. A toi de définir avec le freelancer comment tu souhaites avoir de la visibilité sur les avancés ! 

    8 – Remercier et récompenser le freelancer

    Lorsque votre collaboration est terminée, et que tout le monde est content n’oublie pas de remercier le freelancer. Le réseau c’est précieux ! 

    Benef : passer par une plateforme en ligne spécialisée ! 

    Ca te permettra d’avoir accès à une communauté de freelance qualifiée et réactive et surtout te débarrasser de toutes la partie administrative et de paiement grâce à notre compte séquestre. 

    Une plateforme en ligne spécialisée comme la nôtre, te permet aussi d’avoir un contact privilégié et neutre avec un Account Manager pour bien définir en amont ton besoin et te guider au mieux dans tout ton projet. 

    Alors, qu’attends-tu pour te lancer ? 

    Si d’ailleurs cette nouvelle méthode de travail ne t’apparait pas comme une évidence, je te conseille de lire notre article : pourquoi travailler avec un freelancer ?